Molenbeek : Un élu PS avoue « 90% des élèves, âgés de 17 ou 18 ans, considèrent les terroristes de Bruxelles comme des héros »


Christian Hofer: Terrorisme idéologique de la gauche, filtrage des commentaires dans les médias, immigration de masse, propagande multiculturelle avec nos impôts, déni du Grand remplacement, diabolisation des partis patriotes, mensonges, censure des statistiques criminelles et après tout cela, les socialistes pleurnichent. Bientôt il faudra les remercier de reconnaître ce que nous dénonçons depuis des années. Surtout qu’à présent le mal est tellement ancré qu’il n’y a plus guère de solution!

Pitoyable.

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Yves Goldstein, le chef de cabinet de Rudy Vervoort (PS), ne mâche pas ses mots à l’égard d’une partie des jeunes musulmans. Cité par le très sérieux New York Times, il dénonce aussi les politiques d’intégration qui ont été menées les dernières années.

“Nos villes sont confrontées à un énorme problème, peut-être même le plus important depuis la Seconde Guerre Mondiale. Comment des personnes nées à Bruxelles ou Paris peuvent qualifier de héros des gens qui sèment la violence et la terreur? C’est une vraie question qu’il faut se poser”, lance-t-il.

Le conseiller communal (PS) va même plus loin, en se basant notamment sur des témoignages de professeurs actifs à Molenbeek et Schaerbeek. “90% de leurs élèves, âgés de 17 ou 18 ans, considèrent les terroristes de Bruxelles ou Paris comme des héros”, dit-il, toujours cité par le journal américain.

Yves Goldstein (38 ans) a grandi à Schaerbeek. Fils d’un couple juif qui a fui le nazisme, il est actuellement chef de groupe au conseil communal de Schaerbeek. Il est aussi directeur de cabinet de Rudy Vervoort, le ministre-président de la région bruxelloise.

S’il ne retire rien sur le fond, Goldstein tient à nuancer son propos dans Het Nieuwsblad. “Juste après les attentats, j’ai dit lors d’une conférence du German Marshall Fund que j’avais un ami instituteur à Bruxelles et qu’au lendemain des attaques de Bruxelles, une partie importante de ses élèves n’avait pas condamné les faits. Le NYT a extrapolé en écrivant que je parlais de tous les établissements à Bruxelles. Le journal ne m’a d’ailleurs jamais contacté personnellement”.

“Il n’empêche…”, prolonge-t-il. “J’estime qu’il y a un gros problème avec une partie de la jeunesse musulmane qui affiche de la sympathie envers l’Etat islamique. Il ne faut pas uniquement se focaliser sur ces quelques dizaines de radicalisés qui seraient prêts à commettre un attentat mais surtout sur ce groupe trop large de musulmans qui ne désapprouve pas ces actes terroristes”.

“Quels liens ont-ils avec la vraie diversité?”
Pour Goldstein, qui évoque sans langue de bois un sujet sur lequel son parti ne préfère pas trop s’aventurer, le modèle multiculturel a failli. “Ce mélange de différentes cultures à Schaerbeek et à Molenbeek est un échec”.

Au-delà de ce constat, il dénonce l’émergence de la ghettoïsation de certains quartiers et leur uniformité ethnique. “Il y a des quartiers où certains jeunes ne fréquentent que des coreligionnaires et se retrouvent à l’école avec ces mêmes personnes. Quels liens ont-ils avec la société, avec la vraie diversité?”, s’interroge-t-il. (Christian Hofer: C’est une phrase extrêmement amusante puisque les Belges sont traités comme des étrangers dans leur propre pays par ceux qui viennent d’arriver, situation cautionnée par les politiciens de gauche et autres officines “antiracistes”.)

Sans vouloir stigmatiser l’islam- il insiste sur ce point- Goldstein pointe aussi du doigt la responsabilité et même les négligences de la classe politique. Il lui reproche – en s’incluant dedans – d’avoir laissé se développer des ghettos où la colère, la délinquance et le radicalisme sont devenus monnaie courante. Un terreau fertile pour les recruteurs de l’Etat islamique, selon lui.

A revoir, le témoignage d’un habitant de Molenbeek lors d’une manifestation à Bruxelles, la manifestation étant considérée par la presse comme étant “d’extrême droite” alors que l’homme dénonce les mêmes faits que cet élu PS. Visiblement, seule la gauche a le droit de dire certaines vérités sans passer pour un “salaud de nazi”.

Source : Les Observateurs


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