Une question simple reste sans réponse à propos des vaccins COVID

Pourquoi ? Pourquoi les personnes vaccinées font-elles encore l’objet de restrictions si elles ne peuvent pas être infectées ou propager le virus ?

« Les nouvelles données confirment ce que beaucoup d’entre nous pensaient, à savoir que non seulement les vaccins mettent un terme à la transmission symptomatique du COVID, mais qu’ils rendent également très improbable la possibilité qu’une personne soit infectée. Je pense que la prépondérance des preuves soutient le fait que les personnes vaccinées ne sont pas capables de propager le virus. »

– Amesh Adalja, MD, est un chercheur principal au Centre pour la sécurité sanitaire.

Réfléchissez à la citation ci-dessus. Elle est publiée sur le site de l’école de santé publique Johns Hopkins. Pourtant, les Centre de contrôle des maladies et de nombreuses autorités sanitaires locales ou d’État recommandent toujours d’importantes limitations ou restrictions pour les personnes vaccinées.

Pourquoi ? Pourquoi les personnes vaccinées font-elles encore l’objet de restrictions si elles ne peuvent pas être infectées ou propager le virus ?

Si vous cherchez une réponse, tout ce que vous trouverez, c’est que les autorités sanitaires affirment que les personnes vaccinées peuvent encore être infectées, ce qui les met en danger, elles et les autres. Les CDC développent un peu plus en disant qu’ils ne savent pas combien de temps dure l’immunité vaccinale ni dans quelle mesure les vaccins sont efficaces contre les nouvelles variantes du virus.

C’est juste, mais les CDC nous informent également sur les « cas isolés », c’est-à-dire les cas où une personne vaccinée est infectée : Sur les 84 millions d’Américains entièrement vaccinés, seuls 6 000 ont néanmoins été infectés par la suite, dont 74 sont morts.

Cela signifie que les chances d’être infecté une fois vacciné sont d’environ sept millièmes de un pour cent et que les chances de mourir sont d’un dix-millionième de un pour cent.

En d’autres termes, le risque est si incompréhensiblement faible qu’il faudrait un microscope électronique pour le voir.

Selon les autorités sanitaires, le principal obstacle à l’assouplissement des restrictions est l’« hésitation à se faire vacciner », c’est-à-dire le fait de faire vacciner les personnes réticentes. Pourtant, les politiciens, du président Biden jusqu’au plus bas, font tout leur possible pour porter des masques et maintenir des mesures de distanciation, même s’ils sont vaccinés. Hier soir, Biden a prononcé son discours devant un Congrès à moitié vide comme s’il s’agissait d’un groupe de lépreux présumés – ils étaient tous masqués et distants. C’est insensé, compte tenu de leurs propres affirmations et données sur le vaccin.

C’est comme s’ils essayaient d’embrouiller l’Amérique. Il n’est pas étonnant qu’une grande partie du pays pense que ses dirigeants ont une arrière-pensée pour prolonger les restrictions. Il n’est pas étonnant qu’une grande partie de l’Amérique se méfie désormais tellement de l’establishment médical qu’elle préfère se fier à son propre système immunitaire plutôt qu’au vaccin.

Ici, dans l’Illinois, le gouverneur JB Pritzker a annoncé cette semaine une dépense de 60 millions de dollars pour combattre l’hésitation à se faire vacciner en éduquant le public à ce sujet.

Il faudra plus que cela, à moins que les supposés experts et politiciens ne rectifient leur histoire et leur conduite. Ils doivent cesser de traiter les risques inconséquents comme des risques importants. Ils doivent exposer les fondements des politiques qu’ils imposent de manière cohérente, constante et réaliste.

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Source : Wirepoints.org – Traduit par Anguille sous roche