Michelle Obama a fait pression sur Twitter pour bannir Trump : Twitter Files
“Il est temps que les entreprises de la Silicon Valley cessent de permettre ce comportement monstrueux et aillent encore plus loin qu’elles ne l’ont déjà fait en bannissant définitivement cet homme de leurs plateformes”, a déclaré Michelle Obama un jour avant que Trump ne soit banni.
Samedi, Michael Shellenberger a publié sur Twitter la quatrième partie des Twitter Files, qui révèle que l’ancienne première dame Michelle Obama a fait pression sur Twitter pour bannir le président de l’époque, Donald Trump, le 7 janvier 2021, un jour avant que Twitter ne le fasse. Après l’émeute du Capitole le 6 janvier 2021, le média a créé une justification pour bannir le président en exercice.
“Il est maintenant temps pour les entreprises de la Silicon Valley de cesser de permettre ce comportement monstrueux – et d’aller encore plus loin qu’elles ne l’ont déjà fait en bannissant définitivement cet homme de leurs plateformes et en mettant en place des politiques pour empêcher que leurs technologies soient utilisées par les dirigeants de la nation pour alimenter l’insurrection”, peut-on lire dans la note d’Obama à Twitter.
But after the events of Jan 6, the internal and external pressure on Twitter CEO @jack grows.
Former First Lady @michelleobama , tech journalist @karaswisher , @ADL , high-tech VC @ChrisSacca , and many others, publicly call on Twitter to permanently ban Trump. pic.twitter.com/RzNj7WJReg
— Michael Shellenberger (@ShellenbergerMD) December 10, 2022
La journaliste Kara Swisher et la Ligue anti-diffamation se sont jointes à Michelle Obama pour demander à Twitter de bannir Trump.
Dans son message à Twitter, Michelle Obama a faussement prétendu que les émeutes de 2020 de BLM étaient des “protestations pacifiques”.
Elle a écrit : “Voir le fossé entre les réponses à l’émeute d’hier et les protestations pacifiques de cet été et le mouvement plus large pour la justice raciale est si douloureux. Ça fait mal.”
Les émeutes de BLM de 2020 ont fait plus de 30 morts, de multiples blessés et plus d’un milliard de dollars de dégâts.
En octobre 2020, Michelle Obama a déclaré que Trump était raciste pour avoir souligné la violence des émeutes de BLM.
Elle a déclaré : “Épingler (la violence) sur ce qui a été un mouvement extrêmement pacifique pour la solidarité raciale ; c’est vrai, les recherches le confirment ; seule une infime partie des manifestations ont été violentes. Ce que fait le président est donc manifestement faux, moralement incorrect, et oui, c’est raciste.”
.@MichelleObama on BLM riots: Trump is “pinning [violence] on what’s been an overwhelmingly peaceful movement for racial solidarity; it’s true, research backs it up; only a tiny fraction of demonstrations have had any violence at all … What the president is doing is … racist.” pic.twitter.com/7wBsmACiCQ
— Tom Elliott (@tomselliott) October 6, 2020
Un mois plus tard, elle a déclaré que les électeurs de Trump, au nombre de “dizaines de millions, ont voté pour le statu quo, même lorsque cela signifiait soutenir les mensonges, la haine, le chaos et la division”.
Les Twitter Files de Schellenberger ont révélé que l’ancien responsable de Twitter Trust and Safety Yoel Roth a créé un système de “grève” qui, appliqué à un utilisateur, justifierait un bannissement.
Around 11:30 am PT, Roth DMs his colleagues with news that he is excited to share.
“GUESS WHAT,” he writes. “Jack just approved repeat offender for civic integrity.”
The new approach would create a system where five violations (“strikes”) would result in permanent suspension. pic.twitter.com/F1KYqd1Xea
— Michael Shellenberger (@ShellenbergerMD) December 11, 2022
Les Twitter Files de samedi ont montré que Roth a proposé qu’il fallait cinq frappes pour justifier l’interdiction, mais qu’il s’est finalement contenté d’un raisonnement “ad hoc” pour l’interdiction de Trump. Roth avait déjà voulu interdire le représentant de Floride Matt Gaetz en utilisant des méthodes similaires.
“This might be an unpopular opinion but one off ad hoc decisions like this that don’t appear rooted in policy are imho a slippery slope… This now appears to be a fiat by an online platform CEO with a global presence that can gatekeep speech for the entire world…” pic.twitter.com/4pedmgY8pa
— Michael Shellenberger (@ShellenbergerMD) December 11, 2022
Lire aussi : La Maison Blanche déclare qu’elle n’était « pas impliquée » dans la pression exercée par la censure de Twitter
Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche
Pourquoi inverses-tu les titres ?
Le titre correct est : “Twitter Files : Michelle Obama a fait pression sur Twitter pour bannir Trump”.