Des images époustouflantes montrent une tempête de sable géante de 100 mètres de haut engloutissant une ville en Chine
Un mur de sable de plus de 100 mètres de haut a englouti une ville située aux confins du désert de Gobi, dans le nord-ouest de la Chine, dans des scènes rappelant celles d’un film catastrophe.
La tempête de sable à Dunhuang. (STR/CCTV/AFP)
Dunhuang, une ville touristique dont l’histoire est riche en couleurs et qui fut un avant-poste de la route de la soie, a momentanément disparu dans les nuages de poussière lors de la tempête de dimanche.
Un habitant nommé Zhang a déclaré au média local Jimu News que la tempête de sable est arrivée brusquement et a balayé la ville en cinq ou six minutes.
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“Je ne pouvais pas voir le Soleil”, a-t-il dit, ajoutant que la ville de la province du Gansu n’avait pas connu une telle tempête de sable depuis plusieurs années.
“Au début, j’étais enveloppé par la poussière jaune de la tempête de sable, puis elle est devenue rouge et enfin noire.”
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Dunhuang abrite plusieurs attractions touristiques majeures, dont les grottes de Mogao, un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, qui abrite d’anciennes sculptures bouddhistes et des reliefs désertiques saisissants.
Les tempêtes de sable sont fréquentes dans la région au printemps, mais rares en été, selon l’agence de presse gouvernementale China News Service.
Source : ScienceAlert – Traduit par Anguille sous roche
Etonnant tout de même cette civilisation en voie d’effondrement (économique, financier, social, culturel) qui inonde le monde avec les deux mêmes thèmes en boucle :
– la cata climatique… qui doit entretenir la peur ancestrale d’un “ciel qui nous tombe sur la tête”
– le virus qui sort de son chapeau, en boucle aussi, des “variants” comme autant de lapins du chapeau d’un illusionniste.
Faire peur 24h sur 24, inventer des catastrophes imminentes, menacer de mort (sociale ou physique) à tous ceux qui refusent de foncer dans ces chiffons rouges agités à dessein.
La croyance fabriquée est l’arme la plus redoutable pour dresser, manipuler les foules et leur faire faire et admettre des comportements qu’elles n’auraient, en temps normal, jamais acceptés.
La fabrique d’une nouvelle religion de la disparition est en marche. La virtualisation de la vie des peuples transformés en troupeau de bovins à étiqueter, flashcoder, traçer est le plan des psychopathes qui ont pris partout les leviers du pouvoir : la finance.
L’usure est devenu l’état d’esprit du monde, la majorité des jeunes qui envisagent “d’entrer sur le marché du travail” rêve d’être soit marchand (terme qu’on maquille sous les formules telles que “trader, commercial, technicien du trading ou commerce international, etc) soit futur “génie” de l’IA !
Le dressage global va bon train, nos gouvernements successifs, ici comme partout ailleurs, méprisent leurs peuples devenus gênants, obsolètes par la “grâce” de la technologie automatisée, autre pendant de la nouvelle religion sus mentionnée. Après avoir détruit le corps social partout, vidé les âmes de leur transcendance, voici que le Système d’Usure Globalisée s’approprie les corps physique devenus le support ultime de toutes les expérimentations.
Et lorsque l’ennemi inventé de toute pièce, invisible et donc prolongeable ad libitum comme le furent 90 % des attentats sous faux drapeaux, ne sera plus suffisamment efficace, les Folamour de ce désastre planétaire fourbissent leur prochaine terreur : le changement climatique !
Et tous les sites, dont celui-ci, de balancer quotidiennement des informations à 98 % anxiogènes. La peur, l’angoisse ça se vend très bien auprès des peuples occidentaux qui, n’ayant plus aucun rêve autre que l’enrichissement façon hollywoodienne, tremblent en réalisant qu’ils sont mortels.
On leur avait vendu l’immortalité (du délirant et inquiétant Laurent Alexandre) et voilà qu’on leur balance depuis plus d’un an et demi une litanie quotidienne de liste de morts. Croyez-vous que ces masses reprendraient leur esprit et surtout leur intelligence ?
Que nenni, les masses sont des troupeau de lemmings, elles foncent d’un seul homme vers l’abime où le système à planté une étiquette indiquant “par ici !”. Eliminer, lentement ou brutalement ce trop plein “d’inutiles” (sic. le sieur Alexandre sus mentionné) est le rêve que caressent ceux qui ont décidé d’appliquer le “chaos constructif”. Une dévastation générale sous forme de “crise sanitaire” vaut bien une bonne guerre mon bon monsieur !
Une tempête de poussière, phénomène vieux comme le monde, filmée et passée en boucle sur le réseau de la vacuité intellectuelle et du blabla de comptoir, fait le boulot. Effaré par l’image sous effet loupe, le gogo de l’ère covidienne serre les fesses et s’installe sous sa cloche stérilisée en matant ceux qui résistent encore.
L’ennemi est tout trouvé, ce sera celui que la 5ème colonne, les médias officiels, montre du doigt domme étant forcément, oui forcément, le porteur d’une peste fabriquée de toute pièce. Cas contact, cas asymptomatiques, charge virale forte ou légère, arn messager ou adn modifié, les mots nouveaux sont répétés en boucle ; leur objectif ? Imposer dans le tissu social (et organique !) la “nouvelle normalité”. Rien que ça !
Fin de civilisation assurément…
Les premiers (piqués) seront les derniers (de la rédemption) et les derniers (résistants) feront les futures pages glorieuses de l’Histoire post occidentale.