Aux naïfs qui s’insurgent qu’en France, l’Ivermectine, l’HCQ, etc., ont été interdits aux médecins


Je suis scandalisé que les médecins français ne soient pas libres d’exercer leur métier et de prescrire les médicaments de leur choix à leurs patients.

Mais contrairement à ceux qui se réveillent et sont scandalisés depuis un an que le coronavirus infecte la planète, cela fait 25 ans que je suis scandalisé.

Parce que je ne suis hostile ni aux médicaments ni aux vaccins ; que je trouve stupide d’opposer les uns aux autres ; que je n’ai pas l’arrogance de me bombarder spécialiste ; que je n’y connais rien (tout comme vous), beaucoup s’imaginent et m’en font le reproche, que j’accepte la dictature médicale de l’Etat. Et s’insurgent que je ne la dénonce pas. S’il vous plait, ne me donnez pas de leçons de liberté : c’est vous qui acceptez votre dictature médicale, et moi qui l’ai toujours dénoncée.

J’ai précisément quitté la France à cause de cette forme de dictature. Je l’ai dénoncée maintes fois, cette dictature (et j’entendais toujours en réponse des gens vanter la beauté et la grandeur du système de santé français que vous décriez aujourd’hui).

Ceux qui se réveillent en découvrant, à l’occasion du coronavirus, qu’ils vivent dans un pays médicalement totalitaire, et s’aperçoivent que la Sécurité sociale est de type socialiste, sont les mêmes qui montrent du doigt le système libre américain. Et ils ont 25 ans de retard sur moi.

Oui, j’ai quitté la France parce que mon degré d’exigence en matière de liberté dépasse le niveau qu’offre la France. La France ne m’a jamais apporté le degré de liberté que j’exige concernant l’assurance santé pour ma famille et moi-même, ou ma retraite, entre maints autres sujets.

Mon médecin de famille français m’a expliqué il y a près de 25 ans, qu’ils recevaient des « avertissements » et bientôt peut-être des pénalités financières s’ils prescrivaient librement les médicaments de leur choix, au lieu des médicaments codifiés et recommandés par la Caisse d’assurance maladie ou je ne sais quelle administration de tutelle.

Aussi, me voyez-vous étonné de lire aujourd’hui ces Français qui s’insurgent que les médecins ne soient pas libres de prescrire l’Ivermectine, l’HCQ, ou n’importe quel traitement qu’ils jugent utiles pour soigner le coronavirus !

  • Il vous a fallu tout ce temps pour découvrir que vous vivez, d’un point de vue médical, en dictature ?
  • Il vous a fallu le coronavirus pour prendre conscience que vous vivez dans un régime socialiste – le pire de tous les systèmes politiques – où l’Etat décide pour vous, à votre place, ce qui est bien pour vous ?

Laissez-moi rire, lorsque vous venez aujourd’hui m’expliquer que c’est scandaleux ! A moi !? Racontez ça à qui vous voulez, mais pas à moi ! Faites une recherche dans les articles de Dreuz : cela fait plus de 10 ans que je dénonce ce que vous découvrez aujourd’hui !

Le pire, c’est que les plus furieux d’entre-vous, les plus révoltés qu’on ne laisse pas les médecins prescrire les médicaments de leur choix (et ils ont bien raison d’être furieux et révoltés) ne comprennent probablement pas que le responsable, c’est votre Sécurité sociale. Ce n’est ni Macron, ni BigPharma, ni le coronavirus, et encore moins le désir d’imposer le vaccin pour enrichir ces laboratoires pourris et corrompus et plusieurs fois condamnés, qui vous font subir cette dictature, c’est tout simplement votre Sécurité sociale.

De la même manière que vous avez 25 ans de retard sur moi pour être scandalisé que votre médecin ne puisse pas prescrire librement et faire son métier conformément à ses connaissances, il faudra probablement à mes critiques encore 25 ans pour comprendre ce qui suit.

Pas de concurrence = pas de liberté médicale

Ce qui arrive à la France et aux pays qui ont le même genre de système de santé, c’est que vous n’avez pas la liberté de vous assurer chez qui vous voulez.

  • Je prends un exemple pour ceux qui ont subi un lavage de cerveau sur l’économie et n’y retrouveraient plus leurs chatons :

Lorsque Free est arrivé sur le marché avec son offre internet + télévision + téléphone fixe + téléphone mobile illimités et à tout petit prix, tout le monde a fait des Oh ! et des Ah ! et a applaudi – y compris ceux qui crachent sur le capitalisme et le libéralisme ! Alors que ce qu’ils ont applaudi, l’offre Free, c’est justement le libéralisme et le capitalisme. Seuls le libéralisme et la concurrence permettent d’offrir de meilleurs services pour moins chers : grâce à la liberté du marché, grâce à la concurrence, grâce à l’investissement capitaliste, Free a fait mieux que les autres pour attirer des clients.

  • Transposez cela à la Sécurité sociale.

Si l’assurance santé était libre, si vous pouviez choisir votre assureur et la couverture santé qui vous correspond le mieux (pourquoi faire payer la couverture cancer pour personnes à risque si vous n’avez jamais fumé, ou la couverture avortement si vous êtes un homme, etc.), si vous pouviez mettre en concurrence la Sécurité sociale avec un Free de la santé, les assureurs redoubleraient de compétitivité, de créativité, d’inventivité, et ils vous offriraient des services de grande qualité pour s’attirer votre clientèle.

Si l’assureur de votre santé n’est pas en concurrence avec plusieurs assureurs, il n’a aucune raison de chercher à améliorer son offre et son service, car il ne craint pas qu’un Free offre mieux pour beaucoup moins cher.

Si la concurrence existait, un Free-santé proposerait un contrat garantissant que votre médecin est totalement libre de vous soigner librement avec le traitement de son choix, avec les médicaments de son choix.

Il soignerait votre coronavirus selon les recommandations du professeur Raoult s’il le décide – et pas si la Sécurité sociale le décide ou l’interdit, ce qui, cerise sur le gâteau, attirerait les meilleurs médecins dans son réseau, et cercle vertueux, attirerait plus de clients vers cette assurance santé, ce qui permettrait de baisser ses tarifs.

Et il vous faudra encore 25 ans pour comprendre ça.

Vous avez confiance dans l’Etat qui assure la sécurité des banlieues ?

Non seulement vous n’avez plus de liberté médicale depuis très longtemps, non seulement votre médecin n’a plus la liberté de vous soigner comme il le veut, mais votre assureur unique et obligatoire, c’est l’Etat !

L’Etat qui n’est pas capable de faire son métier de base et d’assumer ses obligations régaliennes, l’Etat qui n’arrive pas à ramener la sécurité dans les banlieues et y faire respecter les lois de la République, l’Etat qui n’assure pas la sécurité de la société, c’est lui qui couvre votre sécurité sociale !

L’Etat incapable de vous apporter la paix sociale, vous le croyez capable de vous apporter la sécurité sociale.

Comprenez-le : l’Etat n’a aucune compétence et aucun professionnalisme en matière d’assurance – ce n’est pas son métier, il le fait très mal.

Vous ne disposez pas d’une médecine libre, mais socialiste. Le coronavirus vous a jeté cette réalité en plein visage, et le coronavirus passé, la plupart d’entre vous l’auront oublié. Surtout ceux qui m’accusent d’être vendu à BigPharma et d’avoir perdu tout esprit critique !

L’homme libre, c’est moi. J’ai pris mon destin en main, je n’ai pas laissé l’Etat décider pour moi.

Lire aussi : Twitter bloque une revue médicale après la publication d’une étude positive sur le traitement à l’ivermectine pour le coronavirus

Source : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


Vous aimerez aussi...

3 réponses

  1. Pat dit :

    Voilà encore un beau donneur de leçons.
    En résumé, il dit, “Il vous a fallu tout ce temps pour découvrir que vous vivez, d’un point de vue médical, en dictature ?”, alors qu’ils auraient dû le savoir depuis au moins dix ans ou 25 ans.

    Ah oui ? Et comment l’auraient-ils su ? Pas par les médias déjà à la botte des labos. Pas par les médecins, dont la plupart se taisaient par peur des sanctions des autorités. Alors, comment l’auraient-ils su ?

    A part une poignée très préoccupée par le sujet, l’écran de fumée était déjà bien trop opaque pour que le grand public voit quelque chose.

    Second point, il dit “Faites une recherche dans les articles de Dreuz : cela fait plus de 10 ans que je dénonce ce que vous découvrez aujourd’hui !”

    Réponse : Parce que vous croyez que tous les Français ont entendu parler de Dreuz ? Moi-même, je ne sais pas ce que c’est, ni dans quel pays, et je le découvre par hasard.

    Vous vous trompez de cible !
    Vous accusez les Français de ne pas s’être éveillés, mais qu’avez-vous fait pour les réveiller ?
    Combien de personnes (blogeurs, animateurs de sites, de forum, de maires, de conseillers municipaux, etc) avez-vous alerté ?

    Ce que je vois, c’est que la plupart de ceux qui “savaient” se sont contentés de publier sur leur blog et de passer le message au petit cercle qui les suivait.
    Jamais une prospection de masse parmi les blogeurs ordinaire (même les petits).

    Moi je dirais que la responsabilité est partagée. Car ceux qui savaient sont restés à se répéter les mêmes choses entre eux, en oubliant le grand public, et en pensant que parce qu’ils publiaient un article sur leur blog, la terre entière était au courant.

  2. Zabelle dit :

    Cet article est lui-même un écran de fumée qui envois du socialisme là ou il n’y en à plus (pour moi il ne faut pas couvrir du mot social, dictature, extrême gauche etc. pour décrédibiliser le socialisme) et encenser le libéralisme et le capitalisme qui n’ont rien de semblable à la liberté. Ceux-là s’arrangent bien entre eux par rapport aux prix (toi c’est intéressant pour ça et moi pour ceci) et si tu n’obéis pas à leurs règles, ils te bouffent. Seuls les hyper gros peuvent devenir encore plus gros et cela sur la misère, les guerres et les famines. On vois bien que les élections approchent et qu’il faut à tout prix décrédibiliser une société groupée et solidaire, même imparfaite elle est plus humaine que le pognon des capitaux et joueur en bourse.

  3. mirko dit :

    Voilà pourquoi je n’ai plus du tout lu les articles de Dreuz. Leur arrogance m’a dégoûté. Ils critiquent la gauche de toutes les manières possibles, mais dans les commentaires, on voit qu’ils sont tout aussi incapables que les “gauchistes” d’échanger cordialement avec des personnes avançant des arguments opposés à leurs dires. J’ai trouvé les écrits de M. Grumberg particulièrement odieux.
    Ils se trouvent les meilleurs et tous les autres sont stupides, s’ils ne partagent pas leur idée. Je cherchais des informations sur les Etats-Unis. Elles me semblent intéressantes, mais le ton m’a fortement déplu. Et cette idolâtrie de Trump…! Trump n’est pas un dieu ni un saint, ni n’est le sauveur du monde.
    Je n’aime pas le socialisme, dont les actions concrètes contredisent les belles paroles. Je n’aime pas le pur libéralisme, qui n’a que l’argent en tête. Mais je trouve important de s’informer sur les deux fronts, pour pouvoir se forger une opinion propre.
    Modération en toutes choses, voilà ce qu’il manque aux uns comme aux autres.

Répondre à Pat Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *