L’OMS avertit que les festivals d’été et les rassemblements de masse pourraient accélérer la propagation de la variole du singe


C’est reparti.

L’OMS prévient que les festivals d’été et les rassemblements de masse pourraient accélérer la propagation du virus de la variole du singe, première indication que les technocrates de la santé pourraient une fois de plus tenter d’imposer des restrictions au nom de l’arrêt de la propagation d’un virus.

Les cas de variole du singe au Royaume-Uni, où le virus est arrivé pour la première fois à cause d’une personne revenant du Nigeria, ont plus que doublé, a-t-on appris plus tôt dans la journée.

Au moins neuf autres pays dans le monde ont également signalé des cas suspects du virus, qui peut provoquer une maladie grave chez les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées.

Des groupes de cas ont été observés parmi les hommes homosexuels, qui sont plus susceptibles de contracter le virus par leurs partenaires sexuels.

Selon Sky News, “la cause exacte de la plus importante épidémie au Royaume-Uni reste un mystère”, d’autant plus que les experts de la santé avaient précédemment affirmé que la variole du singe n’était pas très transmissible à l’homme, et certains ont émis l’hypothèse d’une mutation du virus.

Aujourd’hui, l’Organisation mondiale de la santé avertit que les festivals d’été et les rassemblements de masse pourraient accélérer la propagation de la variole du singe.

“Alors que nous entrons dans la saison estivale dans la région européenne, avec des rassemblements de masse, des festivals et des fêtes, je crains que la transmission ne s’accélère, car les cas actuellement détectés concernent des personnes ayant une activité sexuelle et les symptômes ne sont pas familiers pour beaucoup”, a déclaré le Dr Hans Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe.

Le virus se propage également au moment où l’OMS s’apprête à voter un traité international sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international (2005).

Selon les critiques, le traité donnerait à l’OMS non élue un plus grand contrôle sur les décisions nationales en matière de soins de santé d’urgence et de nouveaux pouvoirs pour imposer des passeports vaccinaux, une surveillance mondiale et des “actions coordonnées au niveau mondial” pour lutter contre la “désinformation” chaque fois qu’elle déclarerait une “urgence sanitaire”.

Bien entendu, toutes ces craintes seront naturellement rejetées comme de la “désinformation” par les “vérificateurs de faits” alignés sur l’OMS en temps voulu.

Comme nous le documentons dans la vidéo ci-dessous, les CDC nigérian exhortent leurs citoyens à cesser de manger de la “viande de brousse” – qui inclut les singes et les rats – afin d’enrayer la propagation du virus.

Au Royaume-Uni, le NHS a également publié un message sur son site Web invitant les gens à ne pas toucher ou consommer de la “viande de brousse”, que l’on trouve sur le marché noir dans des quartiers de Londres aux origines ethniques diverses.


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