L’Organisation mondiale de la santé engage une société de relations publiques pour trouver des personnalités influentes afin de renforcer son image
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a engagé une société de relations publiques de premier plan pour l’aider à trouver des personnalités influentes capables de chanter les louanges de l’agence des Nations unies en difficulté et de renforcer son image publique.
Les États-Unis, qui étaient le plus grand donateur de l’OMS, ont interrompu leur financement et se sont officiellement retirés de l’agence le 7 juillet dernier pour leur gestion bâclée de la pandémie de coronavirus.
Breitbart rapporte : L’OMS a signé un contrat de 135 000 dollars le 1er mai avec Hill+Knowlton Strategies pour atteindre les personnes influentes de toutes tendances, y compris les célébrités qui comptent plus d’un million d’adeptes sur les médias sociaux, selon des documents déposés cette semaine au ministère de la justice.
Hill+Knowlton Strategies a présenté un plan d’action dans sa proposition qui a été incluse dans le dépôt.
« Il y a eu des critiques et des affirmations contre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et une couverture médiatique qui pourrait saper l’OMS en tant que source d’information fiable et critique sur les questions de santé publique mondiale », a écrit la société de relations publiques. L’objectif est de « s’assurer qu’il y a une confiance dans les conseils de l’OMS et que les directives de santé publique sont suivies ».
En plus des personnalités influentes, Hill+Knowlton a déclaré qu’elle identifiera les « micro-influenceurs » qui ont des adeptes plus modestes et spécialisés, ainsi que les personnes moins connues comme les experts de la santé qui apparaissent dans les programmes d’information.
Le travail de l’entreprise devait se dérouler entre le 1er mai et le 15 juin, mais il est possible qu’elle soit consultée à l’avenir.
Hill+Knowlton a déposé des documents au ministère de la justice cette semaine, conformément à la loi sur l’enregistrement des agents étrangers, qui exige la divulgation des activités de lobbying et de relations publiques des entreprises américaines travaillant pour des entités étrangères.
L’OMS a été vivement critiquée pour avoir minimisé la gravité du coronavirus chinois à ses débuts. L’agence a également développé des liens étroits avec la dictature communiste chinoise et a même repris les propos du PCC sur le virus.
En réaction, le président Donald Trump a d’abord suspendu le financement de l’OMS par les États-Unis, puis s’est officiellement retiré de l’organisation le 7 juillet. Les États-Unis sont le principal bailleur de fonds de l’OMS, les contribuables américains versant chaque année entre 400 et 500 millions de dollars à l’organisation.
L’OMS compte déjà une foule d’alliés célèbres, dont certains ont participé à un concert de bienfaisance en avril pour collecter des fonds pour l’organisation et pour lutter contre les coronavirus dans le monde entier. Parmi les vedettes qui ont participé au concert virtuel, citons Lady Gaga, Taylor Swift, Elton John, et les animateurs de comédies de fin de soirée Jimmy Fallon, Jimmy Kimmel et Stephen Colbert.
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Et si elle changeait de direction et mettait à la place de celle d’aujourd’hui des personnalités intègres comme le professeur Didier Raoult comme directeur général ?
Ce serait déjà un premier pas pour redorer son image.
Parce que pour le moment, nous chanterons sa dé-louange tant qu’elle restera un outil au service de Gates et des grands labos.