« Seules les femmes ont un col de l’utérus » : un scientifique biomédical est radié pour avoir publié des messages sur Twitter


Une nouvelle menace pour la liberté d’expression.

Au Royaume-Uni, Malcolm Needs, un scientifique biomédical retraité de 67 ans, a été radié de la profession après qu’un tribunal a conclu que ses messages sur les médias sociaux “enflammaient la discrimination sexuelle”.

Dans l’un de ces messages, Needs écrivait : “Seules les femmes ont un col de l’utérus. Voilà, je l’ai dit, ce n’est pas difficile. Les femmes ont également droit à des espaces réservés aux femmes. Prendre la parole pour défendre les droits des femmes ne signifie pas que nous ne pouvons pas respecter la façon dont les autres souhaitent vivre leur vie.”

Les messages sur les médias sociaux ont été signalés par un autre scientifique biomédical de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, selon le Health and Care Professions Tribunal Service (HCTPS).

La personne qui a signalé Needs a déclaré que ses divagations sur les médias sociaux étaient “une tirade profondément déplaisante de tweets racistes, misogynes, transphobes et nationalistes”.

Le tribunal a abondé dans ce sens, affirmant que ses messages sur les médias sociaux créaient “un flot d’invectives déplorables” qui témoignaient de “préjugés à l’égard des immigrants [et] des questions féministes”. Le tribunal a ajouté que les messages ont également enflammé la discrimination sexuelle ainsi que la haine raciale.

Dans un tweet sur les immigrés clandestins qui traversent la Manche, Needs a écrit : “Faites-les payer, comme ils ont payé les passeurs pour venir ici, et laissez nos contribuables se reposer.”

Une image qu’il a partagée disait : “Héberger les immigrants illégaux dans des hôtels 5* a sauvé l’industrie hôtelière. Alors sauvons l’industrie aérienne en renvoyant ces enfoirés chez eux !”

Dans un autre tweet, il a déclaré que le mouvement Black Lives Matter “essayait de diriger ce pays”.

Needs n’a pas assisté à l’audience du tribunal. Il a envoyé un courriel indiquant qu’il était “heureusement retraité”.

Dans sa décision de radier Needs de la profession, le tribunal a déclaré qu’il n’avait montré aucun “remords, réflexion ou remédiation” et qu’il y avait une chance qu’il répète son comportement.

Lire aussi : « Personnes avec un col de l’utérus » – Les femmes réduites à des parties du corps sous l’orthodoxie transgenre

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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2 réponses

  1. Nonosse dit :

    Si je dis juste: “Soutien à cet homme et à ceux qui pensent comme lui” Google censure et porte plainte???

  2. Jim dit :

    Voici quelques infos utiles.

    Les hommes ont un structure orbitale plus massive, les épaules carrée, des bras plus long, les articulations des mains plus massive et un bassin moins large.

    Donc si vous voyez une femme avec une perruque naturel, des épaules carrée, des bras de chimpanzé et un p’tit cul de mec; rappelez-vous ce thread.

    On peut retirer la pomme d’Adam depuis l’intérieur sans laisser de cicatrice et au passage on peut modifier les cordes vocales. On peut aussi raccourcir les bras et allongé les jambes.

    Mais la vie n’est pas forcement si simple à voir…

    Mise à part la différenciation chromosomique XX/XY. L’étude d’une sportive des pays de l’est on permit d’étudier et comprendre une étape de développement humain.

    Nous naissons tous femmes au niveau de l’organisation des organes (la cybernétique)
    Ainsi, jusqu’à la différenciation le fœtus se développe de manière asexué.

    C’est au moment du développement des glandes que les récepteurs œstrogène/testostérone et leur capacité absorption qui vont détermine si l’organisme va se différencie en homme ou en femme.

    Ainsi on peut avoir des chromosomes de femmes et tout les attributs d’un homme comme chez cette sportive du bloc de l’est. Chez qui, on avait fini par découvrir qu’elle avait des couilles qui n’était jamais descendu dans leur sac, les gonades ne consommant pas leur testostérone. Les œstrogène ont prit le dessus.

    C’est plutôt dans le cerveau que l’irréelle peut avoir un semblant de réel.

    C’est à ce stade que le psychiatre devrai avoir le rôle de confrontation avec le réel et faire redescendre une personne de sa névrose comme il le font avec tout les patients.

    C’est la manière dont la personne va accepter le clash de la réalité qui va déterminé le sexe de son cerveau. Un cerveau œstrogène va beaucoup mieux géré cette frustration clivante et la monté de testostérone qui l’accompagne.

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