« Ils ont trouvé notre peur amusante », déclarent des supporters pris pour cible par des gangs de migrants avant la finale de la Ligue des champions


“Des spectateurs ont été complètement dépouillés, y compris leurs vêtements.”

Les supporters de football qui ont subi des agressions et des vols aux mains de bandes de jeunes majoritairement immigrés avant la finale de la Ligue des champions à Paris le week-end dernier disent : “Ils ont trouvé notre peur amusante.”

Comme nous l’avons souligné précédemment, la finale a dû être reportée après que des personnes décrites comme des “jeunes de la région” ont pris d’assaut la sécurité du stade, enjambant les barrières et pénétrant dans le terrain sans billet, ainsi qu’en commettant d’innombrables vols et agressions sur des touristes en visite pour le match qu’ils considéraient comme des proies faciles.

La plupart des criminels étaient des hommes issus de l’immigration locale qui vivent dans la banlieue ethnique de Saint-Denis, où se trouve le Stade de France, qui abrite un nombre impressionnant de 400 000 immigrés clandestins, dont la plupart sont originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

Les médias et les autorités ont réagi en accusant à tort les supporters de Liverpool, venus d’Angleterre pour assister au match, d’être à l’origine du chaos, couvrant ainsi les véritables responsables, tandis que la police anti-émeute plaquait des supporters innocents et les aspergeait de gaz lacrymogène.

D’autres témoignages ont été recueillis sur ce qui s’est passé pendant la nuit de samedi à dimanche. Ils montrent que ces actes ont été commis en grande partie par des migrants d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

“Ils m’ont attaqué. Ils étaient des centaines de ‘jeunes’ ou d’hommes, tous des hommes”, a déclaré un supporter espagnol à la chaîne d’information française CNews. “Ils m’ont attaqué et ont pris mes quatre billets. Ils m’avaient coûté 6 000 €, mais ça n’avait plus d’importance, nous avions peur pour nous et pour nos enfants… À la sortie, c’était encore pire. Il y avait encore plus d’agresseurs. Ils ont essayé de voler le sac de ma femme. Les agresseurs regardaient mes enfants pleurer et ils riaient. Ils trouvaient notre peur amusante.”

Un autre témoin oculaire a décrit le chaos et la façon dont la police n’était pas intéressée à arrêter les véritables criminels.

“Il y avait des gangs qui rôdaient dehors, cherchant à agresser et à attaquer les fans de Liverpool. Nous avons vu un garçon se faire voler sa montre, puis mon frère, qui était une minute environ derrière moi, a commencé à crier que quelqu’un avait pris son téléphone et son argent.”

“Quelques-uns d’entre eux ont réussi à attraper le garçon, mais ensuite quatre ou cinq autres sont sortis de nulle part. Mon frère a eu le visage tailladé, son camarade a eu la tête ouverte, et un autre garçon a été fracassé avec une bouteille.”

“Ils sont allés au poste de police mais les officiers n’étaient pas intéressés. On leur a dit : ‘Allez à l’hôpital’.”

“Quand ils sont arrivés à l’hôpital, il y avait un gars qui avait été heurté par une rame de métro alors qu’il fuyait quelqu’un avec un couteau, il y avait plein de gens qui avaient été battus ou frappés avec des bouteilles. C’était sinistre.”

Le journaliste et auteur franco-espagnol Alejo Schapire a souligné comment le récit des “faux billets” n’était qu’un stratagème pour dissimuler ce qui s’est réellement passé et qui était responsable.

“La version officielle des autorités françaises : les problèmes au Stade de France étaient dus au fait qu’il y avait trop d’Anglais avec de faux billets. Pourtant, les témoignages sur place font état de vols, de tripotages par des habitants de la ‘zone interdite’ et de la désorganisation de la police”, écrit-il.

Après avoir été prise pour cible par la foule de migrants, Caoimhe O’Neill a fait remarquer : “Je n’aurais jamais pensé que je serais aussi heureuse de quitter une si belle ville.”

Grégory Joron, de l’unité de police SGP, a également décrit comment “Nous n’avions jamais vu cela à une telle échelle. Les spectateurs étaient complètement dépouillés, y compris leurs vêtements.”

Chaos au Stade de France : Liverpool “horrifié” par les 5.000 témoignages de supporters reçus en 24 heures. “Des expériences absolument horribles au départ du stade (…) des crimes commis, des vols”

“J’ai vu des filles de moins de 12 ans pleurer parce qu’elles ont été touchées par ces monstres” : des témoins dénoncent des agressions sexuelles aux abords du Stade de France (MàJ)

Le président de Liverpool tance le gouvernement français : “Vos commentaires sont irresponsables, non professionnels et totalement irrespectueux (…) Nos fans ont été traités comme du bétail et agressés par des gangs”

Le récit cauchemardesque d’une famille espagnole à Saint-Denis : “Des centaines et des centaines de jeunes, armés de cutters, traquaient et agressaient les supporters. Il y avait des armées de voleurs à notre recherche. Un film d’horreur…”


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3 réponses

  1. Christophe Dedieu dit :

    « Des spectateurs ont été complètement déshabillés, y compris leurs vêtements. » alors déjà on voit tout de suite le niveau de l’article pr simplet frustrée (dc raciste)

    [admin : c’est “dépouillés”, très intéressant de se focaliser sur une erreur de traduction plutôt que de regarder les faits en face, continuez à nier le réel c’est parfait, raciste-fasciste c’est le dernier argument bidon qu’il vous reste]

    • oim dit :

      Idéologie quand tu nous tiens…
      Ayez un peu plus de pragmatisme ; ces “migrants” (immigrés clandestins), ne nous servent à rien dans un pays où les impôts sont au plus haut et un taux de chômage qui avoisine les 15%.
      Appelez ça racisme si ça vous chante, mais le simplet c’est vous.

    • Christophe Dedieu dit :

      Et ça ose répondre! allez les petit frustré de francons, continuez a taper a l’aveugle sur les migrants tt en vous prenant des b*tes d’ukrainien dans le uc’

      [admin : ah parce que en plus on doit se taire ? t’a l’air complètement ravagé, continue à vivre dans ton monde parallèle]

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