Facebook et YouTube censurent les victimes du vaccin COVID d’AstraZeneca


Certains des contenus censurés comprenaient des extraits de l’enquête officielle sur le vaccin COVID au Royaume-Uni.

Les personnes qui ont connu de graves problèmes de santé à la suite de leur vaccination par le Covid d’Oxford-AstraZeneca s’inquiètent de plus en plus de la censure sur les plateformes de médias sociaux. Ces personnes, qui se considèrent comme des victimes du vaccin, signalent que leurs tentatives de partager leurs expériences et leurs symptômes en ligne sont étouffées.

Parmi ces personnes, un père de deux enfants a souffert d’un caillot sanguin qui a changé sa vie, entraînant des lésions cérébrales permanentes, après avoir reçu le vaccin au printemps 2021. Il intente actuellement une action en justice contre AstraZeneca devant la Haute Cour de Londres. De même, une action en justice a été intentée par le mari d’une femme décédée tragiquement à la suite de sa vaccination.

D’autres personnes qui pensent avoir souffert de réactions indésirables à la vaccination, mais qui ne sont pas impliquées dans des batailles juridiques, ont exprimé leur frustration face à la suppression de leur voix sur des plateformes telles que Facebook.

Ils affirment qu’ils sont poussés à utiliser un langage cryptique et à s’autocensurer pour éviter les fermetures de groupes, comme l’a rapporté le Telegraph.

UK CV Family, un groupe privé sur Facebook fondé par Charlet Crichton, sert de réseau de soutien à plus de 1 000 membres qui s’estiment lésés ou endeuillés par les vaccins Covid. Charlet Crichton, qui a fait une grave réaction au vaccin d’AstraZeneca, a dû abandonner son activité de thérapie sportive, qu’elle exerçait depuis 13 ans, en raison d’un alitement prolongé. Le groupe, créé en novembre 2021, a obtenu le statut de participant principal à l’enquête Covid, ce qui permet à des membres comme Mme Crichton, qui affirme avoir souffert d’une myocardite après avoir été vaccinée, de témoigner dans le cadre de l’enquête.

Mme Crichton a révélé que ses commentaires avaient été bloqués pour éviter les abus, et qu’elle avait même été temporairement bannie de Meta pour ne pas avoir respecté leurs normes.

Elle a également fait remarquer que certains membres ont été victimes d’un “shadow banning”, c’est-à-dire que leurs messages sont masqués à la vue de tous.

Par ailleurs, YouTube a tenté de censurer une vidéo montrant des avocats discutant des vaccins lors de l’enquête Covid, en invoquant une violation de sa politique en matière de désinformation médicale. Une vidéo de Stephen Bowie, un membre écossais du Vaccine Injury Group qui a souffert d’un accident vasculaire cérébral et de caillots sanguins après avoir été vacciné, a reçu un avertissement similaire.

Lire aussi : L’enquête Covid insulte les victimes des confinements

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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1 réponse

  1. Anonyme dit :

    Faut boycotter ces enflures

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