Le Prince Philip qui disait vouloir se réincarner en « virus mortel » est décédé
Le palais de Buckingham a annoncé le décès du prince Philip, époux de la reine Elizabeth, âgé de 99 ans.
Une déclaration du Palais dit : « C’est avec une profonde tristesse que Sa Majesté la Reine a annoncé le décès de son mari bien-aimé, Son Altesse Royale le Prince Philip, Duc d’Edimbourg. »
Le communiqué poursuit : « Son Altesse Royale est décédée paisiblement ce matin au château de Windsor. »
Downing Street a mis son drapeau en berne en signe de respect.
Aucun détail officiel n’a encore été publié concernant les funérailles du duc, mais il est entendu qu’il aura droit à des funérailles royales cérémonielles plutôt qu’à des funérailles nationales, conformément à ses souhaits.
La Reine devrait approuver les plans définitifs dans les jours à venir.
Le Prince avait souvent mis en garde contre le fait que le monde comptait « beaucoup trop de gens » et avait déclaré vouloir contribuer à en réduire le nombre.
Tout au long de sa vie, il avait fait des remarques affirmant son désir de se réincarner en « virus mortel » afin de pouvoir faire des ravages dans le monde et réduire le niveau de la population mondiale.
Le duc d’Édimbourg, qui a été l’époux de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni et d’autres royaumes du Commonwealth pendant 70 ans, avait également averti : « Si elle n’est pas contrôlée volontairement, elle le sera involontairement… »
« Si je me réincarnais, je souhaiterais être ramené sur terre sous la forme d’un virus tueur pour faire baisser le niveau de la population humaine », avait déclaré le prince Philip à un journaliste de la Deutsche Press Agentur en 1998.
Le programme de dépopulation
Le duc d’Édimbourg a également évoqué son désir de tuer des millions de personnes dans un livre intitulé If I Were an Animal, publié au Royaume-Uni dans les années 1980.
« Je me demande ce que cela ferait d’être réincarné dans un animal dont l’espèce a été tellement réduite en nombre qu’elle est en danger d’extinction. Quels seraient ses sentiments à l’égard de l’espèce humaine dont l’explosion démographique l’aurait privé d’un endroit où exister… Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné dans un virus particulièrement mortel. » – Prince Philip, duc d’Édimbourg (dans sa préface à If I Were an Animal publié par Robin Clark Ltd en 1986).
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