Bill Gates met en avant ses « graines de maïs magiques » pour mettre fin à la faim dans le monde

Le milliardaire Bill Gates a commencé à détourner ses efforts “philanthropiques” pour trouver des moyens de modifier la température de la terre et de mettre fin à la famine.

En fait, le fondateur de Microsoft aimerait que tout le monde vive grâce à son maïs synthétique en attente de brevet.

Il y a bien sûr un motif financier évident dans le plan de Gates pour amener les gens à consommer ses faux aliments, tout comme cela avait été le cas pour ses “investissements” dans le covid.

Et une fois de plus, il utilise l’Afrique comme cobaye pour sa dernière expérience.

Ce qu’il faut, selon Gates, ce sont des “graines magiques” génétiquement modifiées pour résister aux climats chauds et secs ou pour pousser trois semaines plus vite que les graines naturelles.

“La température ne cesse d’augmenter…. il n’y a aucun moyen, sans innovation, d’arriver à nourrir l’Afrique, même de loin. Je veux dire, ça ne marche tout simplement pas”, a-t-il ajouté.

M. Gates, qui a travaillé en secret pour imposer à tous la désastreuse loi de “réduction” de l’inflation de M. Biden, a admis que le maïs de semence n’est pas vraiment magique, mais a insisté sur le fait que les semences, appelées “DroughtTEGO”, ont des qualités importantes.

“Bien sûr, les graines n’étaient pas vraiment magiques, mais en sélectionnant certaines variétés de la culture, les chercheurs pensaient pouvoir produire un maïs hybride qui serait plus résistant aux climats plus chauds et plus secs. Elles ont eu un succès fou”, écrit Gates.

Gates ajoute que DroughtTEGO a un bilan prometteur.

“Lorsque des chercheurs au Kenya ont comparé des parcelles de ce nouveau maïs, qu’ils ont appelé ‘DroughtTEGO®’, avec l’ancien, ils ont constaté que les fermes DroughtTEGO produisaient en moyenne 66 % de céréales en plus par acre”, écrit Gates. “Cette récolte suffit à nourrir une famille de six personnes pendant toute une année, et la famille aurait encore un tel excédent de maïs qu’elle pourrait le vendre pour environ 880 dollars, soit l’équivalent de cinq mois de revenus pour le Kényan moyen. En fait, de nombreux agriculteurs ont enfin pu se permettre d’envoyer leurs enfants à l’école ou de construire de nouvelles maisons après être passés à DroughtTEGO.”

Mais des semences comme celles-ci ne sont pas adoptées assez rapidement, a déclaré Gates, ajoutant que “les investissements dans la R&D agricole sont encore beaucoup trop faibles”.

“C’est essentiel si nous voulons que les dernières technologies en matière de semences parviennent aux agriculteurs aussi vite que possible”, s’est-il exclamé.

Malgré le succès de ces semences, M. Gates a toutefois ajouté que la science doit continuer à travailler sur de nouvelles modifications “car l’environnement évolue de manière imprévisible”.

Il a poursuivi en suggérant que de nouveaux efforts doivent être faits pour modifier les cultures.

“Nous devons accélérer ce travail de sélection des plantes, et une solution est ce que les chercheurs appellent la ‘modélisation prédictive’. Il s’agit d’un logiciel d’intelligence artificielle qui traite les séquences du génome des plantes cultivées ainsi que les données environnementales – des échantillons de sol aux images satellites – et qui crée ensuite une vision basée sur les données de ce à quoi les fermes devront ressembler à l’avenir. À partir de ce modèle informatique, les chercheurs peuvent identifier la variété de plante optimale pour un endroit particulier. Ou bien ils peuvent faire l’inverse : déterminer l’endroit optimal pour faire pousser une culture spécifique”, a déclaré M. Gates.

Tout cela semble merveilleux, c’est vrai. Qui ne verrait pas d’un bon œil les moyens d’aider à éliminer la famine et d’améliorer le rendement des cultures ? Et, bien qu’une discussion sur les “frankenfoods” – ou aliments génétiquement modifiés – soit un tout autre monde, il est bon de se pencher sur les aspects scientifiques.

Malheureusement, le problème, c’est le messager. Le complexe du sauveur de Bill Gates est bien connu et constitue un sérieux inconvénient pour tout ce qu’il propose.

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