Chef du DHS : « Les personnes qui croient aux complots sont l’ennemi n°1 de l’Amérique »
Le chef du DHS de Biden, Alejandro Mayorkas, a déclaré dimanche que les personnes qui croient aux théories du complot sont “l’ennemi numéro 1 de l’Amérique”.
À l’occasion de l’anniversaire des attentats du 11 septembre, M. Mayorkas a déclaré à la chaîne MSNBC que le “paysage des menaces a évolué” au cours des 21 années écoulées depuis le 11 septembre et que la nouvelle menace à laquelle les États-Unis sont confrontés n’est pas constituée de terroristes étrangers, mais d’Américains “radicalisés” par une “idéologie de la haine”, un “sentiment antigouvernemental” et de “faux récits propagés sur des plateformes en ligne”.
Regardez :
Informationliberation.com rapporte : The Hill, “Secrétaire du DHS : ‘Le paysage des menaces a considérablement évolué’ depuis le 11 septembre” :
“À l’époque du 11 septembre, nous étions très concentrés sur le terroriste étranger, l’individu qui cherchait à faire un mal grave pour entrer aux États-Unis et nous faire du mal”, a poursuivi M. Mayorkas, qui s’exprimait sur le site du World Trade Center.
Mais aujourd’hui, M. Mayorkas a déclaré que les autorités s’inquiètent “de plus en plus” des résidents américains radicalisés par des idéologies terroristes étrangères.
“Nous constatons une menace émergente, bien sûr, au cours des dernières années, celle de l’extrémiste violent national”, a déclaré M. Mayorkas. “L’individu ici aux États-Unis radicalisé à la violence par une idéologie terroriste étrangère, mais aussi une idéologie de haine, un sentiment anti-gouvernemental, de faux récits propagés sur des plateformes en ligne, voire des griefs personnels.”
Mayorkas a déclaré l’année dernière que les extrémistes blancs sont la plus grande menace pour l’Amérique et a émis des alertes terroristes peignant les opposants aux confinements covid et les personnes qui ne font pas confiance au régime Biden comme des terroristes domestiques potentiels.
Dimanche, le sénateur Mark Warner (D-VA) a fait écho aux propos de Mayorkas en suggérant que les “négationnistes des élections” qui ont “attaqué” le Capitole le 6 janvier sont une plus grande menace pour “notre démocratie” que les terroristes étrangers.
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c’était savament préparé comme demarche avec l’introduction du mot “conspiration theorist” dans le language commun.
du
“conspiration theorist”
au
“conspiration terrorist”
le chemin n’est pas long, surtout auprès d’un publique bien bien rincé de la caboche.
Ça ne peut leur sembler qu’évident, que des mots aussi proche phonetiquement sont forcément adéquat pour designer indifféremment par l’un ou l’autre des personnes qui n’adhèrent pas aux dogmes officiels.