La BBC reste silencieuse après la gigantesque marche pour la liberté organisée à Londres


La BBC a (comme d’habitude) gardé le silence sur un événement qui a paralysé Londres hier.

Des manifestants se sont rassemblés samedi sur la place du Parlement pour un rassemblement intitulé « Unite for Freedom », certains affirmant que la pandémie est un canular.

Certains tenaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Nous ne consentons pas », « Vous n’avez aucun pouvoir sur nous » et « Nous ne sommes pas des cobayes ».

Le Daily Expose note que si BBC News et Sky News sont restées totalement silencieuses, d’autres médias, dont ITV News, ont couvert la manifestation de masse pour votre liberté. Malheureusement, leur couverture était pleine de mensonges, comme en témoigne leur titre : « Des centaines de personnes se joignent à la manifestation contre le vaccin anti-Covid sur Parliament Square. » Le nombre de participants était plutôt supérieur à un million.

RT rapporte : La manifestation a rassemblé des groupes de personnes qui sont mécontentes des fermetures prolongées imposées par le gouvernement, qui se méfient des vaccins Covid-19 et qui nourrissent des sentiments anti-gouvernementaux.

Le politicien David Kurten, anciennement du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni, a estimé que le rassemblement était plus important que celui du week-end dernier. « Nous sommes tous dehors, des gens normaux, ne portant aucun masque, ne prenant aucun vaccin, exigeant que le gouvernement nous rende les libertés civiles qu’il n’a jamais eu le droit de nous retirer », a-t-il déclaré, résumant la cause des manifestants.

Des manifestations contre les restrictions, semblables à celle de Londres, ont lieu régulièrement dans de nombreux pays occidentaux et sont parfois accueillies par la police.

Au Royaume-Uni, la méfiance à l’égard des politiques gouvernementales a été alimentée par un récit souvent changeant, qui a commencé par un appel à supporter une courte période de restrictions pour « aplanir la courbe » des infections au Covid-19 et protéger le service national de santé d’être débordé, mais qui s’est ensuite prolongé pendant des mois.


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