La Première ministre néo-zélandaise dévoile une initiative visant à financer les journalistes qui écrivent la propagande du gouvernement
La première ministre radicale de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, a annoncé que des fonds publics seraient réservés aux journalistes qui acceptent d’écrire une propagande pré-approuvée qui leur est donnée par le gouvernement.
M. Ardern a expliqué la campagne de propagande lors d’un “Sommet de la démocratie” la semaine dernière, devant des représentants des États-Unis, de l’Australie, du Danemark et de la Norvège.
“Nous avons également constaté la diffusion de fausses informations sur COVID-19, notamment par le biais des médias sociaux”, a prévenu Mme Ardern. “Nous avons fait de la création d’un fonds de journalisme d’intérêt public une priorité pour aider nos médias à continuer à produire des histoires qui informent les Néo-Zélandais.”
WATCH: New Zealand PM Jacinda Ardern says her country has created a special account to fund journalists who will produce government-approved stories on Covid-19.pic.twitter.com/GkIFGsJkSD
— Election Wizard (@ElectionWiz) December 10, 2021
En d’autres termes, la Nouvelle-Zélande est en train de commander son propre journal d’État, semblable au journal “Pravda” de l’ancien parti communiste soviétique.
Dans son discours d’ouverture, Mme Ardern a même prétendu effrontément que la démocratie était “mise au défi dans le monde entier” par les manifestants qui protestent contre les restrictions draconiennes du COVID et les mandats de vaccination dans le monde occidental.
“Si nous voulons relever les défis de notre époque – y compris le COVID-19 et le changement climatique – nous devrons le faire d’une manière qui reflète notre principale force – l’inclusivité de nos sociétés qui nous permet de reconnaître et de valoriser une diversité de voix et de construire des institutions et des approches durables pour aider à résoudre les défis et à répondre aux besoins”, a déclaré Mme Ardern.
Les platitudes d’Ardern n’ont notamment pas expliqué en quoi le modèle tyrannique d’enfermement et d’inoculation forcée imposé par le gouvernement fait partie de la “démocratie”.
Le “sommet de la démocratie” intervient quelques jours seulement après que Mme Ardern a déclaré que “ce programme de vaccination n’aura pas de fin”, même si chaque citoyen reçoit le vaccin obligatoire COVID.
Rappelez-vous, cette même femme qui parle de “démocratie” et de droits de l’homme a eu l’audace de décréter il y a quelques jours à peine que les citoyens seraient désormais autorisés à utiliser les toilettes lorsqu’ils rendent visite à leur famille ou à leurs amis.
Et cette même femme qui appelle à “l’inclusivité de nos sociétés” s’est vantée d’avoir créé un apartheid médical en Nouvelle-Zélande, où les citoyens non vaccinés sont empêchés de participer à la vie ordinaire.
La démocratie est bel et bien “remise en question”, par ceux-là mêmes qui prétendent la protéger.
Regardez l’intégralité du sommet :
Jour 1 :
Jour2 :
- Lire aussi : La Première ministre de Nouvelle-Zélande : « Il n’y aura pas de point final à ce programme de vaccination »
- Vaccination : la Nouvelle-Zélande admet que son plan anti-Covid crée deux catégories de personnes
- Tout le pays de la Nouvelle-Zélande placé sous confinement après un seul cas de COVID
- L’Australie menace désormais les citoyens de saisir des maisons et des comptes bancaires en raison de violations de Covid