Le dictateur nord-coréen Kim Jong Un émet un ordre terrifiant en réaction au COVID
De nouvelles informations inquiétantes nous parviennent selon lesquelles le dictateur nord-coréen Kim Jong Un a ordonné à ses troupes et à la police de tirer sur quiconque s’approcherait à moins d’un kilomètre de la frontière chinoise.
Le Daily Express a rapporté que cette mesure est destinée à stopper la propagation de COVID-19. Jusqu’à très récemment, la Corée du Nord a nié avoir eu le moindre cas de coronavirus. Ce n’est que le mois dernier que Kim a finalement admis que le coronavirus « pouvait être entré » dans le pays.
Un résident de la province du Hamgyong en Corée du Nord a déclaré qu’on lui avait dit que la politique « sera en vigueur tout le long de la frontière entre la Corée du Nord et la Chine jusqu’à ce que la pandémie de coronavirus prenne fin ».
« La police de la ville de Hoeryong a émis un avis d’urgence du ministère de la sécurité sociale, disant qu’ils tueraient toute personne se trouvant dans un rayon d’un kilomètre de la frontière entre la Corée du Nord et la Chine, quelle que soit la raison de sa présence », a expliqué le résident. « Après avoir annoncé la déclaration, le département de police a dit au public, “Le coronavirus s’est répandu partout sauf dans notre pays, donc l’ennemi essaie d’infiltrer la frontière en envoyant le virus à travers elle”. »
« Ils ont souligné la nécessité de sensibiliser les habitants de la zone frontalière et d’établir un système pour signaler les étrangers et les activités de l’ennemi », a ajouté le résident nord-coréen.
Cette politique est en place pour toute la frontière nord-coréenne/chinoise de 1 400 km, qui s’étend sur quatre provinces. Bien que la Corée du Nord n’ait pas officiellement admis avoir des cas de COVID-19, la ville de Kaesong a été mise en quarantaine pendant trois semaines le mois dernier après qu’un cas suspect ait été détecté.
Depuis, Kim a déclaré l’urgence nationale et interdit les déplacements entre les provinces. Des mesures de confinement supplémentaires ont été mises en place dans toute la Corée du Nord après qu’un homme ait déclaré avoir des symptômes de coronavirus, mais l’Organisation mondiale de la santé a déclaré par la suite au public que ses résultats n’étaient pas concluants.
La source nord-coréenne a ajouté que la police proche de la frontière a reçu des munitions supplémentaires pour aider à appliquer la nouvelle politique.
« Ils disent même que personne ne sera tenu responsable des décès par balle qui se produisent dans un rayon d’un kilomètre de la zone frontalière », a déclaré la source.
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Source : UpliftingToday.com – Traduit par Anguille sous roche
On aurait aimé le voir aussi résolu envers les vrais criminels planétaires, notamment ceux qui, sous couvert de vaccination, ont déclenché des épidémies en Asie (et pas seulement en Inde) et ont provoqué des centaines de .milliers de victimes.
Pourquoi toujours attaquer son peuple au lieu de s’en prendre aux responsables qui depuis 20 ans ou plus sont derrière toutes ces manipulations ?