L’Espagne dépénalise les actes sexuels avec des animaux, à condition qu’il n’y ait pas de blessure physique


“La bestialité ne sera plus considérée comme une infraction pénale si l’animal n’est pas blessé.”

Jeudi, le Parlement espagnol a approuvé une nouvelle loi sur le bien-être des animaux qui dépénalise la bestialité tant que la créature ne reçoit pas “une blessure nécessitant un traitement vétérinaire”.

Selon Mundotoro, “la bestialité ne sera plus considérée comme un délit pénal si l’animal ne subit aucune blessure. C’est ce qu’établit le nouveau code pénal à travers la nouvelle loi sur le bien-être animal promue par la ministre Ione Belarra et approuvée par le Congrès le 9 février”.

Ione Belarra Urteaga, ministre espagnole des droits sociaux et de l’agenda 2030, a soutenu l’adoption de la loi.

La bestialité était auparavant illégale, l’article 337. 1 du code pénal stipulant : “Il sera puni de trois mois et un jour à un an de prison et d’une interdiction spéciale d’un an et un jour à trois ans pour l’exercice d’une profession, d’un métier ou d’un commerce en rapport avec les animaux et pour la possession d’animaux, celui qui, par quelque moyen ou procédé que ce soit, maltraite de manière injustifiée, en leur causant des blessures qui altèrent gravement leur santé ou en les soumettant à une exploitation sexuelle, un animal domestique ou apprivoisé, un animal habituellement domestiqué , un animal qui vit temporairement ou en permanence sous le contrôle de l’homme, ou tout animal qui ne vit pas à l’état sauvage.”

La nouvelle loi réforme le code pénal et supprime l’article 337, en retirant du code le langage de “l’exploitation sexuelle” des animaux.

La nouvelle réforme, ou titre XVI, stipule : “Sera puni d’une peine d’emprisonnement de trois à dix-huit mois ou d’une amende de six à douze mois et de la peine d’interdiction spéciale d’un à cinq ans l’exercice d’une profession, d’un métier ou d’un commerce en rapport avec les animaux et la Possession d’animaux est celui qui, en dehors des activités légalement réglementées et par tout moyen ou procédé, y compris les actes de nature sexuelle, cause à un animal domestiqué, apprivoisé, domestiqué ou qui vit temporairement ou en permanence sous le contrôle de l’homme une blessure qui nécessite un traitement vétérinaire pour la restauration de sa santé.”

Le changement qualifiant est si l’acte sexuel avec un animal cause à la créature de nécessiter un traitement chez le vétérinaire.

Lire aussi : Une ministre espagnole déclare que les enfants peuvent avoir des relations sexuelles « avec qui ils veulent » s’ils sont « consentants »

Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche


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1 réponse

  1. marmotte dit :

    Que mme Ione Belarra Urteaga prenne elle même connaissance d’une relation sexuelle avec un taureau , peut être que ça lui remettra la tête en place . Le monde est gouverné par des malades mentaux assoiffés de la plus ignoble est basse décadence . Allons – nous continuez longtemps avec tous ces dingues ???????????????????

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