Une ministre espagnole déclare que les enfants peuvent avoir des relations sexuelles « avec qui ils veulent » s’ils sont « consentants »


“La ministre Montero révèle les parties cachées de l’idéologie du genre : l’hypersexualisation des mineurs et la promotion des actes sexuels entre mineurs et adultes ; corrompant leur innocence.”

Le 21 septembre, lors d’une audition au Congrès sur la loi pro-trans et sur l’avortement, la ministre espagnole de l’égalité a qualifié la pédophilie de “droit”. La ministre communiste, Irene Montero, a choqué ses collègues politiciens lorsqu’elle a préféré les déviants sexuels aux mineurs et a déclaré : “Les enfants devraient avoir le droit d’avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent, à condition qu’ils soient consentants.”

Le parlement du pays a récemment adopté une nouvelle “loi sur la liberté sexuelle” controversée, axée sur le consentement. Les commentaires pervers de Montero s’inscrivent dans le débat sur l’abaissement de l’âge du consentement, actuellement fixé à 16 ans, dans le cadre d’une loi très controversée qui entrera en vigueur le 7 octobre. L’idée du gouvernement dirigé par les socialistes est d’abaisser l’âge du consentement à 12 ans, ce qui ouvrirait davantage la voie aux pédophiles.

La nouvelle loi, dont Montero a fait la promotion, stipule à l’article 181 du code pénal : “Quiconque accomplit des actes de nature sexuelle avec un mineur de moins de seize ans, sera puni d’une peine de prison de deux à six ans.”

Il semble que la ministre n’ait pas lu la loi qu’elle a promue et défendue au Congrès. Les relations sexuelles entre enfants et adultes sont un crime passible d’une peine de prison. Un enfant ne peut pas avoir de relations sexuelles avec qui bon lui semble, malgré ce que prétend la ministre Montero.

Le parti Vox se défend

Le seul parti politique conservateur d’Espagne, Vox, a déposé une motion de réprimande à l’encontre de la ministre et une plainte pénale pour ses propos. Le chef du parti Vox, Santiago Abascal, estime que la ministre encourage la pédérastie. “C’est un scandale international que cette personne soit encore ministre aujourd’hui, c’est une menace directe pour nos enfants.”

La députée Vox Carla Toscano a déclaré : “C’est une corruption des mineurs et une apologie de la pédophilie.” De même, le député européen et premier vice-président de l’action politique Jorge Buxadé a souligné : “Avec une clarté cristalline, Mme Montero révèle les parties cachées de l’idéologie du genre : l’hypersexualisation des mineurs et la promotion des actes sexuels entre mineurs et adultes ; corrompant leur innocence.”

Les féministes reprochent à Mme Montero de défendre la pédophilie

Même l’écrivain et ancienne députée du parti Ciudadanos Sonia Sierra a remis en question les propos de Montero : “Depuis quand les enfants peuvent-ils avoir des relations sexuelles avec consentement ?” Le ministre a également reçu des critiques de la part de groupes féministes. Le groupe Radical Feminist Space a souligné : “C’est déjà la goutte d’eau qui fait déborder le vase, l’argument des défenseurs des pédophiles dans la bouche de la ministre. Soit elle ne sait pas ce qu’elle dit, soit c’est la suite : supprimer l’âge minimum du consentement sexuel de 16 ans.”

Pas un incident isolé

Les déclarations d’Irene Montero ne sont pas un cas isolé parmi les “féministes” de gauche. Par exemple, la communiste et idéologue du genre Shulamith Firestone a proposé de normaliser la pédophilie et l’inceste dans son célèbre livre “The Dialectic of Sex” (1970), l’un des ouvrages de référence du féminisme dit de la troisième vague ou féminisme de genre.

De même, la communiste et féministe Simone de Beauvoir a signé deux manifestes défendant la légalisation des relations pédophiles. Par ailleurs, elle a également été licenciée de son poste d’enseignante pour avoir corrompu un élève mineur.

Le 9 janvier 2018, Irene Montero a écrit un tweet faisant l’éloge de Simone de Beauvoir, déclarant : “Avec son exemple et celui de celles qui l’ont précédée, nous construisons aujourd’hui la révolution des femmes, en nous réinventant et en nous rendant protagonistes de nos vies. Merci.”

Tous les Espagnols, en particulier les familles avec de jeunes enfants, ont des raisons de s’alarmer du fait qu’un radical pervers occupe un poste ministériel en Espagne. De plus, Montero a le pouvoir de décider des contenus imposés aux enfants dans les écoles. Il est donc urgent que l’Espagne protège ses enfants contre les radicaux qui, comme Motero, ont réussi à infiltrer leur gouvernement.

Heureusement, de nombreux Européens en ont assez de voir des politiciens radicalisés s’en prendre à leurs enfants et promouvoir la pédophilie. Ainsi, pendant des jours sur Twitter, le hashtag #IreneMonteroDimision (Irene Montero Resign) a été tendance.

Lire aussi : L’université de l’Indiana rend hommage à un pédophile

Source : RAIR Foundation – Traduit par Anguille sous roche


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