Un député suisse à Davos : Changer les cadres de vie pour forcer le public à suivre les objectifs climatiques


Les réunions annuelles du Forum économique mondial à Davos sont devenues une fenêtre privilégiée sur l’esprit des mondialistes, avec l’admission chaque année de certains des objectifs politiques les plus bizarres et les plus inquiétants que l’on puisse imaginer. C’est à Davos que nous avons entendu pour la première fois le fondateur Klaus Schwab appeler à la “Grande Réinitialisation”, un événement mondial qui, selon les membres du FEM, changera le tissu même de la civilisation et annoncera un nouvel ordre mondial.

C’est également à Davos que nous avons entendu parler pour la première fois du concept mondialiste des “villes intelligentes” et de l’“économie partagée”, dans laquelle vous ne posséderez rien, n’aurez aucune vie privée et serez heureux de l’être d’ici 2030.

Bien que la réunion de 2023 vienne de commencer, elle n’est pas décevante jusqu’à présent en termes de révélations sur la technocratie. Un exemple concret : Le député suisse Bastien Girod a peint une vision du futur proche dans laquelle les gouvernements changent la nature de l’organisation de la population. La grande idée ? Concentrer les gens dans des villes étroitement contrôlées, conçues autour du contrôle des émissions de carbone et où la possession de voitures est illégale pour les particuliers. Et d’établir des pénalités pour les entreprises qui ne se conforment pas aux politiques bureaucratiques en matière de changement climatique.

L’exploitation de l’hystérie du réchauffement climatique, malgré toutes les preuves scientifiques du contraire, reste le principal sujet et outil du mondialisme. Les organisations climatiques affirment que les émissions de carbone ont considérablement augmenté au cours des huit dernières années, alors que les températures mondiales n’ont pas augmenté au cours de la même période, selon les dernières données de la NOAA. De plus, les températures mondiales n’ont augmenté que de moins d’un degré Celsius au cours des 100 dernières années. Il n’existe toujours pas de preuve concrète que les émissions de carbone ont une relation de cause à effet avec les changements de températures mondiales. Pourtant, cette fausse menace est le cri de ralliement de l’élite de Davos et de ses demandes incessantes de liberté écrasant la centralisation.

Lire aussi : Grande Réinitialisation : Des limites individuelles de CO2 sont nécessaires pour lutter contre le changement climatique, selon un scientifique allemand

Source : Zero Hedge – Traduit par Anguille sous roche


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