Anti-Amérique, Anti-Trump, « Anti-Raciste » : Les 5 cours les plus politisés de 2020
Campus Reform a fait état de plusieurs cours en 2020 qui ont poussé la gauche à la partialité politique.
Voici les cinq cours les plus biaisés de 2020.
Plus de 800 étudiants de Vanderbilt ont été interrogés dans le cadre d’un devoir de classe pour savoir si la Constitution américaine était « conçue pour perpétuer la suprématie blanche ».
La « bonne » réponse à la question était « vrai ».
Le cours, intitulé « Les élections américaines », a abordé « les élections présidentielles et du Congrès, le recrutement des candidats, les processus de nomination, les campagnes de financement, la couverture médiatique, les sondages, les modèles prédictifs et les implications des résultats ».
L’université de Tulane à la Nouvelle-Orléans propose un cours au printemps 2021, intitulé « Le féminisme après Trumplandia », qui examinera les actions du président Donald Trump pendant son mandat, notamment la « défiscalisation du planning familial », l’« interdiction des musulmans », l’« attaque contre la législation pro-choix », l’annulation des « protections pour les étudiants transgenres » et l’« histoire des agressions sexuelles » de Trump comme « une dystopie sans précédent pour les femmes ».
Malgré la description, le professeur qui enseigne le cours promet qu’il ne sera pas partisan.
« Il s’agit plutôt du mouvement du féminisme à partir de 1950 et d’essayer de retracer son évolution sous l’administration Trump », a-t-elle déclaré.
Un cours d’études urbaines au Queens College a fait écrire aux étudiants sur trois prétendus « vols » qui ont fait la richesse du président Donald Trump.
Selon l’article des Jacobins sur lequel le projet était basé, les vols de Trump comprenaient « le vol des salaires des travailleurs qui construisent et entretiennent ses projets, le vol des impôts de l’État qui le permet et le vol de terres des espaces communs qu’il encadre ».
L’université de Pittsburgh a publié des documents pour son cours obligatoire de première année sur le racisme anti-noir. Le semestre inaugural du cours « Racisme anti-noir : Histoire, idéologie et résistance » était obligatoire pour tous les étudiants de première année, qui étaient automatiquement inscrits au cours.
La première semaine du cours a permis aux étudiants de s’initier aux « théories critiques sur la race et l’anti-noir dans la vie quotidienne ». Plusieurs semaines de cours ont été consacrées à la question des vies noires et à son influence en tant que mouvement de « libération contemporaine des Noirs ».
« Je suis heureux de dire que j’ai maintenant un doctorat sur le racisme », a déclaré un étudiant à Campus Reform.
Un professeur du Brooklyn College a menacé de retirer tout étudiant des « Concepts fondamentaux dans les études LGBTQ » s’il se comportait mal envers une autre personne ; après que Campus Reform ait contacté l’université pour obtenir des commentaires, le professeur a reçu l’ordre de retirer la menace.
« Mon nom est B. Appelez-moi B », a écrit le professeur dans le programme du cours. « Je suis non binaire, transféminine… J’adhère à une politique stricte de respect des identités sexuelles, sexuelles et raciales de mes étudiants. Toute erreur intentionnelle, comme toute tentative d’insulter l’intégrité personnelle d’un autre étudiant sur la base de sa race, de son ethnie ou de sa religion, entraînera son renvoi immédiat de la classe pour la session en cours. Les abus continus entraîneront des mesures disciplinaires auprès des administrateurs concernés. »
Le programme d’études énumère plusieurs devoirs de lecture liés au LGBTQ, dont « Is the Rectum a Grave? » et « How to Bring Your Kids Up Gay. ».
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Source : Campus Reform – Traduit par Anguille sous roche
