Effacer les Anglais : Les Anglo-Saxons n’ont jamais existé, affirme l’université de Cambridge


L’université de Cambridge enseignerait à ses étudiants que les Anglo-Saxons n’ont jamais existé en tant que groupe ethnique unique, dans une tentative « antiraciste » de dissiper de prétendus « mythes » nationalistes sur la Grande-Bretagne.

Par une ironie du sort, le département anglo-saxon, nordique et celtique (ASNC) de la prestigieuse université de Cambridge, en Angleterre, tente à présent de démanteler les idées mêmes inhérentes au titre du département, affirmant que le groupe ethnique anglo-saxon est apparemment une concoction raciste destinée à alimenter le nationalisme britannique, selon un rapport du quotidien londonien Daily Telegraph.

Les universitaires woke ont affirmé que le but de leur position anti-anglaise était de rendre leurs cours d’histoire « plus antiracistes », a déclaré le département selon le journal, ajoutant : « L’une des préoccupations a été d’aborder les récents conflits entre les Anglais et les Britanniques : L’une des préoccupations a été de répondre aux inquiétudes récentes concernant l’utilisation du terme “anglo-saxon” et son lien perçu avec l’identité anglaise ethnique/raciale. »

« En général, l’enseignement de l’ASNC cherche à démonter les fondements des mythes du nationalisme… en montrant aux étudiants à quel point ces identités sont construites et contingentes, et l’ont toujours été », poursuivent-ils.

Apparemment insatisfait de dissiper le prétendu « mythe » du peuple anglo-saxon, le département universitaire poursuit en affirmant qu’il n’y a jamais eu d’identité ethnique « cohérente » pour les peuples d’Angleterre, d’Irlande, d’Écosse ou du Pays de Galles.

Selon le journal, un professeur de Cambridge a affirmé que le terme « anglo-saxon » a été enveloppé dans une « politique raciale indigène ».

Cette affirmation s’inscrit dans le cadre d’un vaste mouvement universitaire visant à associer le groupe historique des Angles germaniques, des Jutes et des Saxons, arrivés après la fin de la Grande-Bretagne sous contrôle romain et la conquête des Normands, à un racisme présumé, dont beaucoup affirment qu’il a été encouragé en Amérique.

La tentative de qualifier le terme de toxique a réussi à tel point que la Société internationale des anglo-saxons a décidé en 2019 de changer de nom pour devenir la Société internationale pour l’étude de l’Angleterre médiévale précoce en raison des « connotations problématiques qui sont largement associées aux termes “anglo-saxon” ».

Le changement de nom est intervenu peu après la démission de l’universitaire canadienne Mary Rambaran-Olm de l’organisation, qui a ensuite affirmé que l’étude de l’histoire anglo-saxonne était entachée de « blancheur inhérente » et que le « mythe anglo-saxon perpétue une fausse idée de ce que signifie être “natif” de la Grande-Bretagne ».

Les affirmations de Cambridge sur l’histoire de l’Angleterre ont suscité une vive réaction en Grande-Bretagne, le commentateur politique Paul Embery écrivant : « Imaginez qu’une université dise la même chose, par exemple, des Australiens aborigènes, des Maoris ou des Amérindiens. »

Carl Benjamin, ancien politicien de l’UKIP devenu animateur du Lotus Eaters Podcast, a déclaré : « Nous ne l’acceptons pas, bande de pseudo intellectuels subversifs. Nous, les Anglais, existons. Nous existons depuis mille ans et cela ne va pas changer maintenant. Pas de discussion. Pas de dialectique. Nous sommes les Anglais et nous vivons en Angleterre. C’est aussi simple que cela. »

Lire aussi : Panel de l’université de Cambridge : Winston Churchill : un « suprématiste blanc » à la tête d’un empire « pire que les nazis »

Source : Breitbart – Traduit par Anguille sous roche


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