Kari Lake annonce qu’elle n’est « pas suicidaire » après être devenue la dernière cible d’Hillary


Kari Lake, candidate au poste de gouverneur de l’Arizona, a annoncé qu’elle n’était “pas suicidaire” lors d’une apparition sur Fox News jeudi, après être devenue la cible de l’ire d’Hillary Clinton ces derniers jours.

“Mais j’étais un peu inquiète aujourd’hui – je vais être honnête – quand j’ai vu Hillary Clinton dire du mal de moi. Elle avait l’air en colère et avait même peur. Sans aucun rapport, je veux que vous sachiez, juste au cas où vous vous poseriez la question, que je suis en parfaite santé, que les freins de ma voiture sont en bon état, et que je ne suis pas suicidaire”, a annoncé Lake. “Et nous allons gagner ça.”

Hillary Clinton, deux fois candidate à l’élection présidentielle, a critiqué Lake en début de semaine pour ses commentaires sur l’“attaque” très suspecte contre Paul Pelosi.

Lors d’un événement de campagne lundi, Lake a déclaré : “Nancy Pelosi, eh bien, elle est protégée quand elle est à D.C. – apparemment sa maison n’a pas beaucoup de protection.”

Mme Clinton a contesté les commentaires de Mme Lake jeudi, alors qu’elle était à New York pour faire campagne pour la gouverneure Kathy Hochul. Hochul est dans une course serrée contre le représentant républicain Lee Zeldin (R-NY). Mme Hochul a accédé au poste de gouverneur après le départ de l’ancien gouverneur Andrew Cuomo.

“Un intrus frappe à la tête avec un marteau un homme de 82 ans, qui se trouve être marié à la présidente de la Chambre, et les républicains en plaisantent. La femme qui se présente comme gouverneur en Arizona en plaisante”, a déclaré Mme Clinton lors d’un événement de campagne. “Pourquoi une personne sensée voudrait-elle donner le pouvoir à quelqu’un qui trouve amusant qu’une personne soit agressée dans sa propre maison ? Donc vous savez, ils ne se soucient pas de votre sécurité. Ils veulent que vous ayez peur, pour que vous ne puissiez pas penser correctement.”

Lake est loin d’être la seule personne à avoir suggéré que l’attaque pourrait être un faux drapeau destiné à influencer l’électorat quelques jours avant les élections de mi-mandat.


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