La prochaine étape de l’État profond sera l’assassinat après le raid de Trump, prévient l’ancien commissaire de police de New York

L’ancien commissaire de police de la ville de New York, Bernard Kerik, a averti que si le raid du FBI au domicile du président Trump ne l’empêche pas de se présenter en 2024, la “prochaine étape” pour ceux qui cherchent à prendre le contrôle absolu du système politique américain sera l’assassinat.

M. Kerik, qui était commissaire de police lors des attentats du 11 septembre 2001, a fait ces commentaires en réponse à un tweet de l’ancien directeur par intérim du service de renseignement national des États-Unis, Richard Grenell, qui a qualifié la descente de “scandaleuse” et assimilée aux actions de “dictateurs du tiers monde”.

Lors d’une apparition sur Newsmax, Kerik, qui a été infâmement gracié par Trump au début de 2020 après avoir purgé une peine de prison pour fraude fiscale, a en outre déclaré : “J’entends les gens parler, ils ont dit que les démocrates veulent tellement ce gars qu’ils ne mettraient pas l’assassinat derrière.”

“Je vais vous dire quelque chose : ils ont essayé la destitution, ils ont essayé une autre destitution, ils ont essayé une enquête après l’autre. Il s’agit d’une seule chose, il s’agit de l’empêcher de se présenter en 2024“, a encore exhorté Kerik.

“Je ne suis pas dans les conspirations, je ne suis pas dans la rhétorique anti-gouvernementale. C’est la première fois de ma vie que je dirais que j’ai une peur bleue pour Donald Trump. Je ne mettrais pas un assassinat derrière ces gens”, a encore déclaré M. Kerik.

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