Benjamin Mendy, le « frérot » de Macron, en prison pour viol !


Le 15 juillet 2018, à Moscou, l’équipe de France de football remporte sa seconde Coupe du monde en battant la Croatie 4 à 2.

Dans les tribunes, le Président Macron (se remémorant sans doute le capital sympathie que Jacques Chirac, vêtu d’un maillot offert par les joueurs, avait engrangé lors de la première victoire des Bleus en 1998) exulte.

Puis il rejoint les vainqueurs dans le vestiaire, où il tombe dans les bras de Benjamin Mendy, joueur français né d’une mère sénégalaise et d’un père originaire de Guinée-Bissau, qui lui impose une photo mémorable : les deux hommes réalisent un « dab », la tête et le regard d’un côté, les bras tendus de l’autre, une espèce de quenelle à la sauce afro-américaine, spécialité des rappeurs.

Le journal Libération, expert en folklore des banlieues, nous en dit plus : « Le dab est un pas de danse figé, une pose parfaite pour se faire mitrailler par les appareils photo. […] Avant de désigner une danse, le mot “dab” faisait référence à la consommation de drogue. Le “dabbing” est une manière de se shooter, en inhalant les vapeurs d’huile de cannabis, après avoir transformé la résine en une espèce de liquide jaune orangé. Le pas de danse fait référence à cette manière de planer, de ne plus mettre correctement un pied devant l’autre et de perdre contrôle de son corps. »

Décidément, dès qu’une occasion se présente pour faire l’andouille et désacraliser la fonction présidentielle, Macron saute dessus, à pieds joints, même pour faire la promo du cannabis. Quant à son copain « dabbeur », Benjamin Mendy, qui joue en Angleterre à Manchester City, depuis vendredi dernier, il couche en prison. Il est accusé, outre-Manche, d’avoir violé quatre jeunes femmes ! Macron va-t-il lui envoyer des oranges ? Car Mendy est un de ses fidèles supporters. Quand le président américain Donald Trump avait tourné en ridicule son homologue français, ironisant sur son manque de stature et de popularité, le footballeur avait adressé, en le tutoyant comme un rebeu de la cité, deux tweets de soutien à Macron. Le premier en anglais : « Don’t worry bro » (traduction : « Ne t’inquiète pas, frérot »), le second en bon français, avec la promesse de clouer le bec de Donald : « Je m’occupe de lui, t’inquiète » !

Malgré cet acte de « patriotisme », Benjamin Mendy n’a pas été retenu, cet été, pour participer au dernier Euro de football. Il a, cependant, envoyé un élégant message d’encouragement à l’équipe de France : « Bonne chance les frères, on compte sur vous pour tout niq… » Rapidement éliminés, les Bleus n’en ont rien fait. Contrairement à Mendy qui, lui, semble-t-il, est passé à l’acte. Ce qui lui vaut un séjour dans une maison close avec des barreaux aux fenêtres.

Lire aussi : Plus de «bêtises» ? Le jeune homme qui posait avec Macron condamné pour détention de stupéfiants

Source : Boulevard Voltaire


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1 réponse

  1. Maewan dit :

    Ne jamais perdre de vue que le pervers Macron a bien été coopté par les élites du “super Etat mondialiste” pour précisément détruire toute l’aura de la responsabilité présidentielle. Commencée par le grossier et inculte Sarkozy, la destruction de cette fonction suoprême se pourvuit avec le freluquet bouffi de certitude et d’arrogance.
    Je rappelerai ici la teneur “élégante et respectueuse” du gazouillis (“tweet”) présidentiel adressé à son homme de main O. Véran, avant l’allocution “sanitaire” de ce dernier : “Tiens bon, on vous les avoir ces connards”… en parlant bien entendu du peuple récalcitrant à l’injection mortifère et à l’aussweiss inique.
    J’espère vivre assez longtemps pour voir ces mafieux traduits devant une cours pénale digne de ce nom et nouvelle dans un monde libéré de cette chienlit malfaisante.

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