Ministère de la Vérité : Les chercheurs demandent à Joe Biden de créer un « tsar de la réalité » pour lutter contre la « désinformation » en ligne


Il semble que l’atteinte à la liberté d’expression sous couvert de lutte contre la désinformation devra s’aggraver avant de s’améliorer sous la nouvelle administration américaine.

Parmi les nombreuses idées qui circulent actuellement, le New York Times a écrit mardi qu’il étudiait les moyens de lutter contre « la désinformation et l’extrémisme intérieur » en créant un groupe de travail interinstitutions dont la tête serait « quelque chose comme un “tsar de la réalité” ».

Cela vous semble-t-il dystopique ? Oui, pour le « journal officiel » et le journaliste qui a rédigé l’article, mais la barre est maintenant si basse qu’il se déclare prêt à « écouter » ceux qui font de telles suggestions.

Apparemment, les recommandations de nommer un « tsar de la réalité » (nécessaire parce qu’il y a une « crise de la réalité ») sont maintenant faites au président Biden par plusieurs personnes qualifiées d’« experts ».

Le « tsar » aurait pour tâche de coordonner le nettoyage sur Internet des discussions et des informations provenant d’un large éventail de sources, des groupes QAnon aux médias conservateurs, des débats autour du Covid aux opinions des personnes qui pensent que l’élection était frauduleuse.

L’efficacité semble être le but de ces « experts », car actuellement, la désinformation et l’extrémisme interne sont tous deux combattus par diverses agences dont les activités se chevauchent. Ainsi, au lieu de disperser cet effort dans divers organes gouvernementaux, pourquoi ne pas former un « ministère de la vérité » orwellien – comme l’appellent déjà ceux qui sont perplexes à cette idée.

Nous avons déjà un Internet dangereusement centralisé, et maintenant des gens comme Renée DiResta, qui est présentée comme une chercheuse en désinformation de Stanford, veulent un groupe de travail centralisé pour le contrôler.

De plus, Mme DiResta aimerait que cette task force collabore avec Big Tech afin de leur offrir un coup de main dans la lutte contre la désinformation et l’extrémisme (deux termes qui sont de plus en plus liés dans la couverture médiatique grand public).

L’autre nouveau terme alarmiste et dramatique est « la crise de la réalité » et il doit être abordé par le gouvernement et les entreprises technologiques qui travaillent ensemble. Une idée est de donner à ces dernières un autre privilège de « sphère de sécurité », leur permettant cette fois de « partager » les données des utilisateurs sans être tenues pour responsables des infractions aux règles de protection de la vie privée.

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Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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