Des documents déclassifiés de la CIA révèlent la récupération d’un fragment d’Ovni écrasé en 1966


L’origine de l’objet reste inconnue.

The Black Vault a déposé des milliers de demandes en vertu de la loi sur la liberté de l’information (FOIA) au cours des dernières décennies.

Cela a entraîné la déclassification de plus de 2 millions de documents de la CIA, disponibles sur leur plateforme officielle. Dans un article récent, le fondateur John Greenewald a abordé un seul document déclassifié qui se réfère à la récupération et à l’exploitation d’un fragment métallique d’un Ovni des années 1960.

Le document en question est disponible depuis des décennies, ce qui signifie qu’il n’est pas nouveau, mais avec plus de 2 millions de pages sur la plateforme, on peut comprendre comment un certain fragment a pu être oublié pendant des années.

Malheureusement, le document déclassifié est en très mauvais état et une grande partie du texte imprimé et des images est difficile à lire. Selon la CIA, c’est la seule version du document qu’elle possède (ce qui semble peu probable) qui a été clairement indiquée par un tampon indiquant « Poor Original ». Néanmoins, avec un peu d’effort, il est possible de le lire en grande partie. L’intégralité du fichier PDF contenant le document est disponible ICI.

Un petit résumé des principales informations sur le fragment d’Ovni. Crédit : The Black Vault

Le rapport déclassifié de la CIA parle de la récupération d’un fragment d’Ovni en République du Congo. Cet événement a eu lieu le 4 mai 1966, et le document indique clairement que l’origine des débris est inconnue. La CIA n’a pas mentionné d’extraterrestres, mais à la place, ce qui est écrit sur le document indique « Pays non identifié ». Cela signifie que la CIA pense que le fragment d’Ovni était artificiel et venait de la Terre. Ce qu’ils ont découvert, c’est que le fragment métallique devait faire partie d’un composant électrique quelconque.

Bien sûr, le simple fait que la CIA n’ait pas pu l’identifier avec quelque chose de connu suggère qu’il pourrait potentiellement s’agir de quelque chose de plus important. Quelles sont les chances qu’aucun expert n’ait vu un composant similaire sur Terre ?

D’un autre côté, lorsque les experts ont étudié le fragment d’Ovni, ils en ont déduit qu’il avait dû être exposé à des températures extrêmes. Comme le document est difficile à lire, il est presque impossible de comprendre les chiffres inscrits sur la page. Selon John Greenewald, il indique 1 500° Celsius (2 800°F). C’est une autre partie du document qui est ouverte à l’interprétation, peut-être pouvez-vous voir un chiffre différent.

Cette page du document sur les fragments d’Ovni déclassifiés montre une décomposition de la composition chimique. Il est impossible de lire la plupart des données, mais les éléments sont clairement visibles. Crédit : The Black Vault

De plus, la CIA a eu la gentillesse de nous fournir la composition chimique du fragment d’Ovni, bien que l’état du document nous empêche de voir les chiffres réels. Bien que l’origine reste un mystère, ils ont pu analyser et montrer de quoi il était fait. La liste des éléments est longue comme vous pouvez le voir, mais parmi les plus notables figurent le carbone, le silicone, le manganèse, etc.

Le document déclassifié comprend également plusieurs pages de photographies du fragment d’Ovni qui, malheureusement, nous sont absolument invisibles. La qualité de l’impression est tellement mauvaise qu’il est impossible de se faire une idée précise de l’objet réel. Néanmoins, nous voyons qu’il était incroyablement petit grâce à l’ajout d’une règle dans les images. À en juger par ce qui est partiellement visible, le fragment d’Ovni n’était pas plus grand que 2 centimètres et pour moi personnellement, il semble qu’il ait une forme ronde.

Une des meilleures pages avec des photos. Vous pouvez voir une règle juste en dessous de l’objet qui montre qu’il fait environ 2 centimètres de large. Crédit : The Black Vault

Ce document déclassifié indique clairement que la CIA possède au moins un objet de ce type provenant d’un Ovni, mais nous savons tous qu’il y en a certainement beaucoup plus, probablement des milliers. Dans une vidéo récente sur le sujet, le fondateur et propriétaire de The Black Vault a déclaré qu’il s’occuperait bientôt d’autres cas similaires.

Nous devrions apprécier les efforts inlassables et les innombrables demandes de la FOIA qui sont faites pour que nous apprenions ces secrets si longtemps gardés. Si de tels cas vous intéressent, visitez le site officiel de The Black Vault et vous êtes assuré de passer des heures à regarder d’incroyables dossiers déclassifiés traitant de choses que vous ne pourriez pas croire autrement.

Lire aussi : Des documents déclassifiés de la Marine américaine révèlent l’existence d’un « brevet Ovni » et d’une arme de modification de l’espace-temps

Sources : Curiosmos – Traduit par Anguille sous roche – Exploitation Report [PDF], Greenewald, J. (2021, February 16). Exploitation of Metallic fragment from unidentified Flying Object, 4 May 1966.


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3 réponses

  1. sangmelima dit :

    Le grand storytelling continue !
    Voilà le volet “Attention troupeaux humains, les extraterrestres vont vous tous vous tuer !!!”. La manipulation globale bat son plein et le pire c’est que tous les bobards, dans l’ordre : le communisme puis, le terrorisme, puis le climat, puis les catastrophes “naturelles”, puis la plandémie et maintenant les extraterrestres… sont gobés sans aucun questionnement par les masses sidérées.

    Ça marche super bien le Grand Storytelling !

    • clarkguébeul dit :

      Bonjour, le site the black vault est assez sérieux et exploite le “freedom of information act” qui stipule que l’on a droit de demander tout ce qu’on veut à l’administration en terme de document ( quand on sait ce que l’on veut )…c’est le 2e site curiosmos d’où est tiré l’article d’Anguille sous roche qui fait de la surenchère. Les ovnis qu’on y croit ou pas ont une existence “administrative”, The black Vault essaye d’en débusquer les traces. C’est plutot intéressant. Le New York Times a consacré une série d’article en 2017 montrant que le Pentagone continue d’étudier le phénomène.

  2. Bruno dit :

    7 décennies et toujours le même refrain pour masquer la rétroingénierie d’Overcast, bah ça fait causer, la vérité est ailleurs :)

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