Manuscrit 512 – Preuve d’une civilisation amazonienne disparue depuis longtemps ?


La Bibliothèque nationale du Brésil abrite un texte ancien, le Manuscrit 512, qui fait état de la découverte d’une cité antique disparue depuis longtemps, dotée de monuments incroyables ressemblant à ceux de la Grèce antique.

L’idée que des civilisations anciennes très développées ont habité la forêt amazonienne est un mythe qui a circulé parmi les chercheurs et les archéologues amateurs pendant plus de cent ans. Ces dernières années, nous avons compris que l’Amazonie abritait effectivement diverses cultures.

Certaines d’entre elles étaient considérées comme très développées. Les scans LiDAR qui ont révélé des structures construites en forme de cosmos en sont un exemple. Nous avons découvert que l’Amazonie était bien plus peuplée qu’on ne le pensait initialement. Et nous savons que les plus anciennes pyramides de la Terre ont été construites dans ce qui est aujourd’hui le Brésil.

Qu’est-ce que le Manuscrit 512 ?

La première page du Manuscrit 512. Crédit image : Wikimedia Commons.

Mais certaines histoires parlent de civilisations perdues encore plus complexes. Le Manuscrit 512, aujourd’hui conservé à la Bibliothèque nationale du Brésil, en est un exemple. Il mentionne un groupe d’explorateurs intrépides qui se sont aventurés au cœur de l’Amazonie vers 1753. Comme le révèlent les documents, ils ont découvert une magnifique cité de pierre, comme ils n’en avaient jamais vu. Selon le document, cette ancienne cité était très différente des villes qui existaient à l’époque. En fait, et comme le décrit le document, cette ville mystérieuse abritait une architecture étrangement similaire à celle de la Grèce antique. De plus, comme le notent les explorateurs, les murs étaient ornés d’un système d’écriture qu’ils n’avaient jamais vu auparavant.

Des détails curieux

Le manuscrit révèle de nombreux détails incroyables. Il parle d’un grand sac de pièces d’or découvert par les explorateurs dans la ville antique. La pièce représenterait la silhouette d’un archer portant une couronne. En outre, le manuscrit reproduit l’écriture ancienne vue sur les murs de la ville. Selon de nombreuses personnes qui ont vu le manuscrit 512 de près, l’écriture semble présenter d’étranges similitudes avec l’alphabet grec et phénicien.

Mais malgré les détails incroyables du manuscrit, les archéologues brésiliens traditionnels affirment que son histoire n’est qu’un mythe. En fait, les archéologues brésiliens considèrent qu’il s’agit du “plus grand mythe de l’archéologie nationale”.

Lire aussi : Des figurines anciennes uniques au monde suggèrent une civilisation perdue à Porto Rico

Source : Curiosmos – Traduit par Anguille sous roche


Vous aimerez aussi...

1 réponse

  1. Michel Duthé dit :

    Ce genre d’allégation ne me surprend pas. J’ai vu personnellement au musée d’anthropologie de México de véritables statuettes égyptiennes. J’ai aussi vu au musée archéologique de Lima des huacos représentants des chinois moustachus alors qu’avant l’arrivée des Espagnols les habitants du Pérou ancien étaient totalement imberbes…Il y a eu à l’évidence dans le passé des échanges transatlantiques et transpacifiques.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *