Mystère : Plus de 100 voitures découvertes dans une mine abandonnée
Des explorateurs urbains sont tombés sur un cimetière de voiture perdu sous 60 mètres de terre dans une mine d’ardoise qui a fermé il y a plus d’un demi-siècle.
Les épaves d’environ 100 voitures – datant des années 1970 – ont été trouvées dans la mine rempli d’eau qui a fermé il y a bien longtemps.
Les explorateurs urbains ont fait la découverte après une randonnée périlleuse à travers la mine dans un endroit secret au nord du Pays de Galles.
L’ingénieur informatique Gregory Rivolet a passé quatre heures à explorer la dernière demeure d’une flotte de vieux tacots.
Gregory, 31 ans, a déclaré : “C’était très dangereux car la mine est vraiment instable”.
Les explorateurs ont utilisé une corde pour descendre
“Des morceaux d’ardoise tombaient au-dessus de nos têtes. Nous avons dû utiliser une corde pour descendre au bon niveau de la mine, la descente faisait environ 20 mètres de profondeur – ça ne semblait vraiment pas sûr. Il y avait quelque chose de si surréaliste dans cette exploration, c’était totalement sombre, humide, glissant et très dangereux. Et puis vous voyez la chose la plus inattendue, une montagne de vieilles voitures. L’expérience a été assez intense, mais elle valait vraiment le risque.”
On pense que la mine d’ardoise à Ceredigion a été ouverte vers 1836 et l’exploitation a continué jusqu’en 1960 quand elle a été abandonnée.
La mine d’ardoise sombre
Les explorateurs croient que la mine va au moins jusqu’à 60 mètres de profondeur et peut-être même plus.
L’extraction de l’ardoise a dominé l’économie du nord-ouest du Pays de Galles au cours de la seconde moitié du 19ème siècle.
La mine d’ardoise d’Oakeley à Blaenau Ffestiniog était la plus grande dans le monde. En 1898, un effectif de 17.000 hommes au Pays de Galles a produit un demi-million de tonnes d’ardoises pour les toitures, planchers, plans de travail et des pierres tombales.
Mais la Première Guerre mondiale a réduit considérablement le nombre de personnes employées dans l’industrie et la production d’aujourd’hui survit seulement à petite échelle.
Source : Mirror.co.uk
