Le « traité mondial sur la pandémie » prévoit un système de passeport et de carte d’identité numérique universel et obligatoire


Le “traité mondial sur les pandémies” de l’Organisation mondiale de la santé prévoit la mise en place d’un passeport numérique universel obligatoire et d’un système d’identification.

Les mondialistes et les dirigeants du monde entier se sont réunis à Davos, en Suisse, cette semaine pour l’Assemblée mondiale de la santé de l’OMS.

Les participants des 194 États membres de l’OMS sont prêts à voter sur des modifications majeures du Règlement sanitaire international qui priveraient effectivement les pays souverains de tout pouvoir et le confieraient au Conseil mondial de la santé de l’OMS en cas de prétendue “pandémie”.

Si les ratifications sont acceptées cette semaine, l’OMS se verrait également accorder l’autorité exclusive sur ce qui constitue une pandémie. Et, comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, à peu près tout peut être qualifié de “menace existentielle pour la santé publique”, y compris, mais sans s’y limiter, la désinformation, les parents qui protestent dans les commissions scolaires, la liberté d’expression et, bien sûr, le racisme. Le fait que l’OMS soit sur le point de disposer d’une autorité illimitée pour décider de ces mesures devrait terrifier chaque Américain.

Qui plus est, les changements incluent également des plans pour un système de passeport vaccinal obligatoire et universel supervisé par l’OMS. En fait, l’organisation mondialiste a déjà passé un contrat avec une société allemande, appelée “T-Systems”, pour développer cette technologie.

Ils sont si confiants que les mesures seront approuvées.

Extrait de l’annonce conjointe de l’OMS et de T-Systems :

“L’Organisation mondiale de la santé (OMS) va permettre à ses États membres d’introduire plus facilement des certificats de vaccination numériques à l’avenir. L’OMS met en place une passerelle à cet effet. Elle permet de vérifier les codes QR figurant sur les certificats de vaccination électroniques au-delà des frontières nationales.

Elle est destinée à servir de procédure standard pour d’autres vaccinations telles que la polio ou la fièvre jaune après le COVID-19. L’OMS a choisi T-Systems comme partenaire industriel pour développer les services de validation des vaccinations.”

Selon Garret Mehl – le chef du département de la santé numérique et de l’innovation de l’OMS, le plan pour le nouveau système universel est de délivrer un identifiant numérique à QR code à chaque personne sur la planète – de cette façon, tout le monde est suivi. Mais, ne vous inquiétez pas, il s’agit juste d’un exercice de “renforcement de la confiance”, explique M. Mehl.

Oh, c’est tout ?

De Mehl (via The Brownstone Institute) :

“Les certificats de vaccination qui sont inviolables et vérifiables numériquement renforcent la confiance. L’OMS aide donc les États membres à mettre en place des réseaux de confiance nationaux et régionaux et des technologies de vérification.

Le service de passerelle de l’OMS sert également de passerelle entre les systèmes régionaux. Il peut également être utilisé dans le cadre des futures campagnes de vaccination et des enregistrements à domicile.”

Outre le fait que l’OMS est un organisme international, non élu et non responsable, qui ne se préoccupe absolument pas des libertés individuelles, l’organisation est dirigée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’a cessé de proférer des mensonges éhontés et des restrictions paralysantes tout au long de la pandémie du virus chinois.

Inutile de dire que les Américains ne devraient pas vouloir de cet homme près du pouvoir. Mais, grâce à la trahison de Joe Biden, à la gauche mondialiste et au marais de Washington, cette organisation mondialiste et son chef fou auront un contrôle absolu.

Si l’on considère le fait que le régime Biden a délibérément caché les amendements proposés au traité lorsqu’il a été soumis en janvier (sautant ainsi le processus démocratique) – et n’a rendu la proposition publique que des mois plus tard (juste avant l’assemblée de l’OMS), nous sommes bien au-delà d’une infraction passible de destitution. C’est à la limite de la trahison.


Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *