Le routier polonais Lukasz Urban s’est battu jusqu’à la mort pour empêcher l’attentat. Mais ça n’intéresse pas les médias


Décidément on vit une drôle époque, une époque troublée où toutes les valeurs immuables qui ont fait nos sociétés ont disparus dans une sorte de modernité diluant ce qui est positif. Notre temps est celui de l’inversion des réalités, les bons deviennent les oubliés, les victimes d’une ère qui ne veut plus d’eux, trop bon trop con comme dirait l’autre. Les ordures elles ont de beaux jours devant elles, elles sont les vedettes de ce siècle en total déshérence, elles gagnent ainsi beaucoup d’argent à essayer de démembrer ce que nos ancêtres ont mis des siècles à transmettre.

Souvent on dit que les meilleurs partent les premiers, visiblement cela se vérifie chaque jour. Tout ce que le monde porte de criminels, de meurtriers et de bandits, toute cette mélasse se retrouve récompenser des horreurs qu’elle a réalisé. On disait autrefois que le crime ne paie pas, c’était vraiment autrefois, aujourd’hui il règne en maître, puisqu’il est dans le fond le grand gagnant du combat du bien contre le mal, de ce qui est permis contre ce qui est proscrit, c’est ainsi, une sorte de renaissance de Sodome et Gomorrhe comme une revanche de cette dernière.

Je voudrais mettre cela en parallèle avec le routier polonais Lukasz Urban à qui je voudrais rendre hommage, il a été un héros, donnant sa vie pour que le carnage inévitable soit le moins pire possible, le moins meurtrier. Pourtant ça n’intéresse pas grand monde parmi nos élites cosmopolites qui tiennent ces fichus médias de masses, on préfère communiquer comme à chaque attaque contre les civils sur le fameux « vivre-ensemble », ou le « padamalgam », ces idéologies assassines qu’on voit où elles nous mènent.

Lukasz lui sera par conséquent un oublié de l’histoire comme tant d’autres me direz-vous, oui tant d’autres héros qui seront effacés des mémoires. Au contraire de l’imposture Lassana Bathily fuyant son frère Coulibaly, et qui par ce geste est devenu une idole. Lukasz est « polak », il vient d’un peuple dont je suis et qui est à l’origine a toujours connu la guerre, l’occupation, qui a donné une reine à la France, un fils à l’Empereur sa seule lignée vivante d’ailleurs, mais ce n’est pas assez vendeur pour nos médias, il est européen, chrétien, blanc de peau, tout ce qui est interdit de par chez nous.

Je ne sais pas ce qu’était ce monsieur dans la vie, mais ce qui est sûr c’est qu’il a réussi sa sortie, et je voulais même si je serai peut-être le seul en France à lui rendre ce dernier hommage. Dozobaczenia przyjacielu !

Source : La gauche m’a tuer


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1 réponse

  1. Franck dit :

    Saura-t-on vraiment ce qu’il est advenu de cet homme? En tout état de cause, il est certain que s’il avait été arabo-musulman on en entendrait parler davantage. Il est temps de redresser la barre face à la dictature de la pensée des soi-disant élites autoproclamées pour lesquelles le blanc européen est une race nuisible qui a vocation à disparaître. Car les antiracistes sont les plus racistes de tous, c’est connu.

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