Sondage : les personnes vaccinées sont beaucoup plus susceptibles de soutenir le risque d’une troisième guerre mondiale pour l’Ukraine
Les non vaccinés sont beaucoup plus susceptibles de soutenir des mesures plus diplomatiques.
Un nouveau sondage révèle que les personnes vaccinées sont beaucoup plus susceptibles de risquer une troisième guerre mondiale à propos de l’Ukraine en soutenant des mesures agressives contre la Russie, tandis que les personnes non vaccinées sont plus susceptibles de soutenir des mesures diplomatiques.
Les résultats révélateurs de ce sondage, réalisé par EKOS, ont été publiés par le Toronto Star.
Les Canadiens qui ont reçu “trois vaccins ou plus” sont massivement favorables à l’élargissement des sanctions (86 %), à la saisie des biens des Russes (85 %), à l’interruption des livraisons de pétrole russe (81 %) et à l’envoi de matériel militaire supplémentaire en Ukraine (82 %). Plus de la moitié (52 %) sont favorables à l’envoi d’avions de chasse à l’Ukraine.
Par contre, les Canadiens non vaccinés étaient beaucoup moins susceptibles d’appuyer des mesures qui auraient pour effet d’intensifier le conflit.
En effet, une majorité de non-vaccinés (52 %) n’appuie aucune des mesures énumérées.
“L’écrasante majorité aurait probablement répondu ‘utiliser la diplomatie’ s’il s’agissait d’une option, mais les faucons de guerre à l’origine du sondage l’ont laissée de côté”, commente Chris Menahan.
Les résultats du sondage confirment les affirmations de beaucoup, à savoir que les médias ont changé le discours du COVID en “soutien à l’Ukraine” pratiquement du jour au lendemain et que les masses irréfléchies ont immédiatement affiché leur soumission idéologique.
Les PNJ ont pu passer sans problème d’un soutien zélé aux vaccins et de dénonciations vitrioliques de tous ceux qui n’en recevaient pas, à un soutien zélé à l’Ukraine et à des dénonciations vitrioliques de tous ceux qui n’adhéraient pas entièrement au récit de la guerre.
Il semble que le soutien massif à tout ce que la classe politique et la culture exigent de “courant” soit devenu une forme d’addiction cognitive.
L’humanité semble dépendre de sa capacité à se définir en passant d’une crise à l’autre et en l’utilisant comme arme pour ostraciser, humilier publiquement et déplomber les dissidents qui suggèrent que tout n’est peut-être pas ce qu’il semble être.
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