L’idéologie de l’identité sexuelle enseignée dans les salles de classe britanniques : 10 % des jeunes de 16 à 18 ans veulent changer de sexe


Près d’un tiers des jeunes en âge de fréquenter la sixième classe ont appris qu’une femme peut avoir un pénis. Ce n’est là qu’une des conclusions inquiétantes que Civitas, l’Institut pour l’étude de la société civile, un groupe de réflexion britannique, a révélées dans un nouveau rapport : Montrer, dire et ne rien laisser à l’imagination : Comment la justice sociale critique sape l’école britannique. L’organisation a mené une enquête en Angleterre auprès de plus de 1 100 jeunes âgés de 16 à 18 ans et d’un nombre similaire de parents d’adolescents plus jeunes.

MailOnline a publié l’article.

Il a été révélé hier soir que les adolescents remettent en question leur sexe biologique alors qu’ils sont exposés à du matériel d’éducation sexuelle « woke ».

Près d’un tiers d’entre eux apprennent qu’une « femme peut avoir un pénis ». Un sur cinq s’est vu dire « qu’un homme peut tomber enceinte », selon le rapport du groupe de réflexion Civitas.

Il soulève des questions sur l’influence du matériel d’éducation sexuelle préjudiciable et graphique distribué aux jeunes, et exerce une nouvelle pression sur le ministère de l’éducation pour qu’il publie des directives à l’intention des chefs d’établissement sur les élèves transgenres avant le trimestre d’été.

Ces conclusions ont suscité l’indignation des députés et des parents, qui ont déclaré que les enfants étaient utilisés comme une « expérience psychologique et sociale ». La députée conservatrice Miriam Cates, ancienne enseignante et membre de la commission de l’éducation des Communes, a déclaré : « Ce qui se passe dans nos écoles sous couvert d’éducation sexuelle est une expérience psychologique et sociale à l’échelle de la population sur nos enfants. Cela ne peut plus durer. »

Son collègue conservateur Jonathan Gullis a ajouté : « C’est extrêmement préoccupant, d’autant plus qu’il y a encore dans nos écoles du matériel très nocif qui pousse les enfants à suivre un certain programme et les empêche d’être des enfants. »

Le rapport a interrogé 1 168 jeunes âgés de 16 à 18 ans en Angleterre. Plus de la moitié d’entre eux (54 %) ont déclaré connaître quelqu’un dans leur école qui souhaite changer de sexe ou qui l’a déjà fait.

Un jeune sur dix (10 %) a déclaré vouloir changer de sexe ou l’avoir déjà fait. …

Toby Young, directeur de la Free Speech Union, a déclaré : « Ce rapport révèle à quel point les écoles britanniques sont devenues des madrasas woke. Il s’agit d’un scandale national auquel le gouvernement doit s’attaquer. »

Lire aussi : Le conseil scolaire de Chico confirme la « politique du secret parental » concernant l’identité de genre des élèves

Source : The Daily Sceptic – Traduit par Anguille sous roche


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