La cofondatrice de Black Lives Matter achète une maison à 1,4 million de dollars dans une région comptant seulement 1,6 % de Noirs
Elle a choisi de vivre dans l’une des zones les plus blanches possibles.
La cofondatrice de Black Lives Matter, Patrisse Khan-Cullors, a choisi de vivre dans l’une des régions les plus blanches de Californie après avoir acheté une maison de 1,4 million de dollars dans une zone où la population noire ne représente que 1,6 %.
Un rapport du site immobilier Dirt révèle que Khan-Cullors, qui a lancé le hashtag #BlackLivesMatter en 2013 en réponse à l’acquittement de George Zimmerman, a acheté une « mini-maison isolée, nichée dans le Topanga Canyon rustique et semi-éloigné de Los Angeles ».
« À 15 minutes en voiture de The Commons at Calabasas et à un peu plus longtemps et un peu moins sinueux de la Getty Villa de Malibu, la petite propriété s’étend sur environ un quart d’acre. La propriété, qui ne fait pas tout à fait 220 mètres carrés, est divisée entre une maison principale de trois chambres et deux salles de bain et un appartement séparé d’une chambre et d’une salle de bain pouvant accueillir des invités à long terme, avec une entrée privée et un salon avec kitchenette », écrit Mark David.
Selon les données officielles, les Blancs non hispaniques représentent 82,3 % de la population de Topanga Canyon, tandis que les Afro-Américains ne représentent que 1,64 % de la population.
D’autres comtés de Californie se targuent d’avoir une population noire nettement plus importante, notamment Alameda (12,5 %) et Sacramento (10,2 %).
Selon un rapport du L.A. Times, Topanga Canyon est réputé pour le « privilège » de sa population et son « isolement géographique des réalités douces et dures de la vie américaine moderne ».
Bien que la vie des Noirs soit importante pour Khan-Cullors, il semble qu’elle n’ait pas très envie de vivre parmi les Noirs.
Les hypocrites de la justice sociale qui débitent une rhétorique anti-blancs tout en choisissant de vivre dans des quartiers blancs embourgeoisés n’ont rien de nouveau, c’est même un thème courant.
Les célébrités et les politiciens qui épousent un sentiment favorable à l’immigration de masse vivent régulièrement dans les quartiers les moins diversifiés possible.
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