La « ministre de la vérité » de Biden a comparé la liberté d’expression à de la « poussière de fée »
La nouvelle “ministre de la vérité” du président Biden, Nina Jankowicz, a comparé la liberté d’expression à de la “poussière de fée” lors d’un témoignage sur la censure des médias sociaux devant le Parlement britannique l’année dernière.
La “tsar de la désinformation” récemment nommé par le DHS a fait ces commentaires lors d’un témoignage sur la censure des médias sociaux devant le Parlement britannique.
Elle a fourni des preuves orales concernant la mise en œuvre du projet de loi controversé sur la sécurité en ligne au Royaume-Uni.
Summit News rapporte : Après avoir convenu que le gouvernement devrait fixer des normes minimales d’expression interdisant la “misogynie”, Mme Jankowicz a critiqué les plateformes alternatives de médias sociaux pour leur soutien à “la liberté d’expression et la poussière de fée”.
Il semblerait qu’elle ne croit pas que la liberté d’expression devrait même exister.
Elle a également déclaré que les régulateurs des communications liés au gouvernement, tels que l’Ofcom, devraient “être en mesure d’établir les normes minimales qui seraient appliquées à toutes les plates-formes et d’encourir des amendes”.
“Cela pourrait être basé, encore une fois, sur les conditions de service préexistantes”, a-t-elle ajouté.
Mme Jankowicz a également approuvé l’idée d’habiliter les gouvernements à exiger des cites de médias sociaux des données sur les utilisateurs individuels dans le but de mettre en œuvre de nouvelles politiques de censure.
“Les plateformes de médias sociaux peuvent le faire si elles y sont contraintes”, a-t-elle déclaré.
Mme Jankowicz a également affirmé que les plateformes de médias sociaux devraient utiliser des algorithmes qui “nous permettraient de contourner certaines des préoccupations liées à la liberté d’expression” en rétrogradant le contenu afin que peu de personnes le voient.
“Vous pouvez crier dans le vide noir, mais vous n’avez pas une énorme audience pour le faire”, a-t-elle déclaré.
Ces commentaires s’inscrivent dans la lignée des déclarations antérieures de Mme Jankowicz, qui avait révélé que la liberté d’expression la faisait “frémir”, tout en soutenant le mensonge selon lequel l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden était de la désinformation russe.
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