Le « ministère de la Vérité » de Biden prévoit de geler les comptes bancaires jusqu’à ce que vous supprimiez les « opinions non approuvées » : Ancien chef du renseignement


L’ancien directeur du renseignement national Richard Grenell a averti les Américains que le “ministère de la vérité” de l’administration Biden prépare le terrain pour geler les comptes bancaires américains au nom de la protection contre la désinformation.

“Ne soyez pas surpris si le département de la désinformation gèle votre carte bancaire jusqu’à ce que vous supprimiez vos opinions non approuvées”, écrit Grenell. “Les démocrates militarisent les agences gouvernementales avec un abandon inconsidéré.”

L’action de l’administration Biden ferait écho aux manœuvres autoritaires déployées par le régime Trudeau plus tôt cette année en réponse au Convoi de la liberté des camionneurs. La loi d’urgence de Trudeau, invoquée le 14 février, stipulait qu’“une banque ou un autre fournisseur de services financiers pourra immédiatement geler ou suspendre un compte sans ordonnance judiciaire”.

L’invocation de cette loi a suscité un tollé de la part des Canadiens épris de liberté et des membres du Parlement qui l’ont décriée comme injustifiée et inconstitutionnelle. Il semble maintenant que l’administration Biden s’apprête à invoquer des pouvoirs similaires aux États-Unis.

La Maison Blanche a déjà tenté de collecter des informations sur les comptes bancaires des Américains en octobre dernier, par le biais d’une directive adressée à l’IRS. Selon un rapport d’ABC News, l’administration Biden a dû faire marche arrière “sur une proposition controversée visant à demander à l’IRS de collecter des données supplémentaires sur chaque compte bancaire dont les transactions annuelles dépassent 600 dollars”.

L’administration Biden n’a fait marche arrière qu’après avoir essuyé de nombreuses critiques de la part de législateurs républicains et de représentants du secteur bancaire, qui ont déclaré que cette stratégie d’application des règles fiscales constituait une violation de la vie privée par le gouvernement fédéral.

Le sénateur John Thune (R-SD) a déclaré à l’époque : “Combien de temps faudra-t-il pour qu’ils disent : ‘Vous savez, nous avons besoin d’un peu plus d’informations parce que nous ne pouvons pas vraiment faire grand-chose de tout cela’. Ensuite, ils vont vouloir des transactions individuelles et qui sait quoi encore.”

Aujourd’hui, le nouveau Conseil de gouvernance de la désinformation (DGB) de Biden, également connu sous le nom de “ministère de la Vérité”, a été critiqué par la presse grand public, y compris le Wall Street Journal, qui le compare au KGB, la police secrète autoritaire des communistes soviétiques.

Les dangers de le DGB seront amplifiés si elle devient l’outil d’acteurs politiques partisans. Et c’est déjà le cas. La directrice générale, Nina Jankowicz, a déclaré : “À moins que nous n’atténuions notre propre polarisation politique, nos propres problèmes internes, nous continuerons d’être une cible facile pour tout acteur malveillant – russe ou iranien, étranger ou national – à manipuler.”

Oui, vous avez bien lu. Nous devons tous rentrer dans le rang en raison des nombreuses menaces graves – nationales et étrangères – qui pèsent sur nous. Les opinions politiques erronées deviennent une menace pour la sécurité nationale. Le DGB ressemble déjà de manière effrayante au KGB.

Rapport de LifeSiteNews : Le secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré lors d’une conférence de presse en avril que le nouveau département aiderait à “faire face au terrorisme non autorisé, à d’autres menaces et à voir comment la désinformation et la mésinformation sont poussées pour conduire à leur augmentation”.

Le gouvernement canadien sous la direction du Premier ministre Justin Trudeau a utilisé un tel prétexte pour justifier le gel de milliers de comptes bancaires afin de mettre fin à la manifestation du Convoi de la liberté à Ottawa plus tôt cette année.

Comme LifeSiteNews l’a rapporté en mars, Ryan Schwartz, directeur général par intérim de la direction de la cybersécurité du ministère de la Sécurité publique du Canada, a déclaré qu’“‘un domaine qui mérite d’être examiné’ à partir des ‘blocages récents en février’ sont les effets ‘de la désinformation et de la mésinformation qui peuvent se propager en cascade sur les plateformes de médias sociaux'”.


Vous aimerez aussi...

1 réponse

  1. Durga dit :

    La folie furieuse continue de plus belle côté démocrate qui n’a absolument rien de démocrate du reste. On se surprend à rêver de les enfermer le plus rapidement possible en institut psychiatrique. Les américains doivent se réveiller dare dare, je dirais même le monde anglo-saxon où la psychopathie atteint les limites car on parle bien ici de supprimer la liberté d’expression et les échanges d’informations. Un racket simplement comme de vulgaires voyous. La facture se réglera fatalement dans la rue comme au Sri Lanka car lorsque l’on a plus rien à perdre…..

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *