Le Grand Reset : Joe Biden s’engage à « reconstruire un monde meilleur »
Joe Biden a déclaré, lors de ses entretiens avec les dirigeants mondiaux au sommet du G7 samedi, qu’il prévoyait de mettre en œuvre le « Grand Reset » en « reconstruisant un monde meilleur ».
Au cours de leur réunion, les dirigeants mondiaux ont discuté de l’importance d’une « économie mondiale équitable, durable et inclusive », et ont notamment évoqué la Chine.
La Maison Blanche a présenté en avant-première ses ambitions mondialistes lors d’un appel aux journalistes, promouvant un plan qui concurrencerait l’initiative chinoise « Belt and Road ». (Un responsable de la Maison Blanche a baptisé la proposition de M. Biden « Build Back Better for the World » « B3W », par opposition à la « BRI » de la Chine).
« Nous avons vu le gouvernement chinois faire preuve d’un manque de transparence, de mauvaises normes environnementales et de travail, et d’une ligne de conduite qui a laissé de nombreux pays dans une situation plus défavorable », a déclaré un haut fonctionnaire de la Maison Blanche.
Breitbart.com rapporte : Le plan de Biden offrirait une option différente pour le monde, a noté le fonctionnaire, faisant concurrence à la Chine en offrant un plan avec les « normes de travail et environnementales les plus élevées ».
« Il s’agit d’offrir au monde une vision affirmative, positive et alternative à celle présentée par la Chine et, de manière similaire mais aussi différente, par la Russie », a déclaré le responsable.
La Maison Blanche a déclaré que M. Biden travaillerait avec le Congrès pour augmenter le financement des infrastructures à l’étranger et coordonner le financement des autres pays du G7 et du secteur privé pour aider à financer les infrastructures des pays à revenu faible et intermédiaire.
Ils ont cité une estimation de 40 000 milliards de dollars d’investissements nécessaires par la Banque mondiale jusqu’en 2035.
« Nous visons une échelle ambitieuse et crédible », a déclaré un fonctionnaire.
Un fonctionnaire a noté que les nations du G7 discuteront également des problèmes liés à la pratique du travail forcé par la Chine au Xinjiang.
« L’objectif est d’envoyer un signal d’alarme indiquant que le G7 prend au sérieux la défense des droits de l’homme et que nous devons travailler ensemble pour éradiquer le travail forcé de nos produits », a déclaré le fonctionnaire.
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