Les statistiques criminelles du FBI prouvent que la « suprématie blanche » n’est pas responsable de la menace de crimes de haine envers les Asiatiques


La narration médiatique s’effondre avec un minimum d’examen.

Les statistiques du FBI sur la criminalité réfutent l’argument des médias selon lequel les Blancs représentent la plus grande menace de criminalité violente pour les Asiatiques, les chiffres montrant que les Blancs sont nettement sous-représentés dans les statistiques de la criminalité par rapport à leur population par habitant.

Depuis le meurtre de six femmes asiatiques qui travaillaient dans des salons de massage à Atlanta, les médias ont amplifié le faux récit selon lequel la « suprématie blanche » est à blâmer.

Ils ont amplifié cette explication en dépit du fait que l’attaque n’avait absolument rien à voir avec la race et que deux femmes blanches ont également été tuées lors de la fusillade.

Bien qu’elle ait admis que l’attaque n’avait aucun motif racial, CNN l’a quand même imputée au « nationalisme blanc et à l’extrémisme national » dans un article intitulé « La suprématie blanche et la haine hantent les Américains d’origine asiatique ».

Cependant, les statistiques officielles de la criminalité montrent que les Blancs sont nettement sous-représentés en termes de menace de crime violent qu’ils représentent pour les Asiatiques.

Comme le souligne le Washington Examiner, citant les statistiques du FBI, alors que les Blancs représentent 62 % de la population, ils ont commis 24 % des crimes contre les Asiatiques en 2018.

En comparaison, les Noirs, qui représentent 13 % de la population, ont commis 27,5 % de tous les crimes violents contre les Américains d’origine asiatique en 2018.

Il est donc clair que les Blancs ne représentent pas la plus grande menace criminelle pour les Américains d’origine asiatique.

Ces chiffres soulignent une fois de plus comment les médias ont créé une nouvelle panique morale hystérique afin de soutenir ce qui ne peut plus être considéré comme autre chose qu’un racisme institutionnel et une haine envers les Blancs.


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