Une employée de George Soros nommée au poste d’agent du ministère de la Vérité de Biden


Le nouveau ministère de la Vérité de Joe Biden a nommé un haut responsable de George Soros comme principal agent d’exécution.

La nouvelle avocate générale adjointe principale du ministère de la Vérité, Jennifer Daskal, a des liens profonds avec le milliardaire mondialiste.

Tout d’abord, Mme Daskal a été membre de l’Open Society Foundation (OSF) de M. Soros, où elle a été chargée de “travailler sur des questions liées à la vie privée et à l’accès des services répressifs aux données transfrontalières”.

Mme Daskal a également travaillé comme conseiller principal en matière de lutte contre le terrorisme pour l’organisation Human Rights Watch, qui a reçu plus de 32 millions de dollars de Soros entre 2000 et 2014.

Human Rights Watch a récemment condamné l’acquisition de Twitter par le PDG de Tesla, Elon Musk, pour son objectif de faire de la plateforme de médias sociaux un havre de liberté d’expression.

Enfin, Daskal a également été la rédactrice en chef fondatrice du blog Just Security, financé par Soros, auquel l’OSF a versé 675 000 dollars entre 2017 et 2019.

L’implication de Daskal dans le conseil de gouvernance de la désinformation a été révélée par le secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, lors d’une audience du Congrès la semaine dernière.

L’OSF de Soros a joué un rôle clé dans la promotion de la censure sur les plates-formes de médias sociaux sous le couvert de la surveillance des “discours de haine”.

Des groupes liés à l’OSF ont même récemment demandé aux annonceurs de reconsidérer leur collaboration avec Twitter après que Musk ait affirmé qu’il rétablirait la liberté d’expression sur le site.

Mme Daskal travaillera en tandem avec Nina Jankowicz, autrice du canular de la collusion entre Trump et la Russie et bouffon de la liberté d’expression, qui a prétendu à tort que l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden était de la “désinformation russe”.

Jankowicz, la directrice du conseil de gouvernance de la désinformation, a même récemment affirmé que le rapport du Sénat décrivant l’implication douteuse de Hunter Biden dans la société énergétique ukrainienne Burisma Holdings était de la “désinformation”.

Bien que le chef du DHS, M. Mayorkas, ait insisté sur le fait que le Conseil de la désinformation n’aura pas “l’autorité opérationnelle” pour contrôler la liberté d’expression, le sénateur Rand Paul (R-Ky.) a noté la semaine dernière que le gouvernement fédéral ne peut même pas s’entendre sur la définition de la désinformation.

“Vous savez qui est le plus grand propagateur de désinformation dans l’histoire du monde ? Le gouvernement américain”, a déclaré Paul à Mayorkas lors d’une audition au Congrès. “Connaissez-vous [l’ancien secrétaire à la Défense Robert] McNamara ? Les documents du Pentagone ? Connaissez-vous George W. Bush et les armes de destruction massive ? Connaissez-vous l’affaire Iran-Contra ? Pensez à tous les débats et différends que nous avons eus au cours des 50 dernières années dans notre pays. Nous les avons résolus en les débattant.”

Pendant ce temps, des bureaucrates gouvernementaux comme le Dr Robert Califf, chef de la FDA, affirment de manière absurde et sans preuve que la désinformation est la “principale cause de décès” aux États-Unis.

Le conseil de gouvernance de la désinformation va-t-il lui remettre les pendules à l’heure ou continuer à laisser se diffuser cette affirmation manifestement fausse ?


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