Covid-19. « Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et les promoteurs du vaccin, celui-ci n’a rendu à personne sa vie d’avant »


La forte hausse du nombre des décès Covid déclarés depuis le 1er janvier 2022 au niveau planétaire montre que le variant delta n’a pas dit son dernier mot.

En Israël, l’expérimentation vaccinale tourne au fiasco si l’on s’en tient à l’évolution des 5 dernières semaines.

Multiplication des cas par 122 et des décès par 66. Tous les records sont battus. Au vu de ce qui se passe en Israël, et pour la première fois, je commence à m’inquiéter pour mes proches qui se sont soumis, sous la contrainte, aux injections vaccinales.

Avant propos : « On peut débattre de tout, sauf des chiffres » (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre par la « meute » des médias mainstream français…

Il est donc temps de commencer à faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

Observations :

1 – Avec le variant Omicron très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a augmenté sensiblement sur la planète en janvier passant de 25 à 100 millions de tests positifs pour 5 semaines. Le nombre de décès ( lié au variant delta et à l’hiver) a augmenté dans le même temps passant de 200 000 à près de 300 000 pour la même période. En clair, l’apparition du variant Omicron pourrait bien être une véritable bénédiction pour la planète, puisque celui ci constitue un véritable vaccin naturel en raison de sa faible létalité. En revanche, le variant delta n’a pas dit son dernier mot et la fin de l’épidémie n’est pas encore en vue, surtout si elle repart dans l’hémisphère sud, ce qui semble être le cas.

2 – Malgré une vaccination de masse menée « tambours battants » depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et les chiffres ne sont guère encourageants pour les 5 premières semaines de Janvier. Les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis que les pays développés les plus vaccinés : c’est un fait.

3 – Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 10,2 milliards d’injections vaccinales pour une population de 7,9 milliards d’habitants ; injections vaccinales « vendues » par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas au cours de l’année 2021 et des cinq premières semaines de 2022.

4 – Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques promoteurs du vaccin, celui ci n’a rendu à personne « sa vie d’avant ». Jamais les contraintes n’ont été aussi fortes pour un résultat aussi nul.

5 – Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie Covid-19 devrait régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron.

– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …..

– Dans de nombreux pays, l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid y réduisent considérablement la mortalité liée à ce virus.

– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. À cet égard, le variant Omicron, très contagieux mais très peu létal, joue le rôle d’un véritable vaccin naturel pour ceux qui contractent la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

[…]

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