Des outils au service de la tyrannie


Qu’ont en commun un virus, un mouvement marxiste et l’interdiction des armes à feu ? Rien, superficiellement. En creusant plus profondément, ce sont des outils d’oppression fédérale.

Un élément commun évident de ces trois outils est la peur qu’ils engendrent : la mort par contagion, les émeutes et les pillages incontrôlés, et la violence armée. Ces dangers sont en fait largement exagérés ou carrément inventés.

C’est à l’économiste de Stanford Paul Romer que l’on doit la première phrase suivante : “Une crise est une chose terrible à gaspiller”.

Washington a pris cette idée à cœur.

En 2019, alors qu’aucune crise n’existait, l’establishment de Washington a créé la perception d’une menace existentielle du COVID qui tuerait 2,2 millions d’Américains sans une intervention fédérale drastique. En fait, le COVID comportait un risque pour la population générale et saine similaire à celui de la grippe saisonnière et n’était dangereux que pour les personnes âgées, immunodéprimées et présentant des conditions préexistantes. Biden, Fauci et les médias ont donné l’impression que nous allions tous mourir si nous ne suivions pas les ordres draconiens de Washington concernant le confinement, la distanciation sociale et l’obligation de se faire vacciner.

Fauci a ordonné aux Américains de mettre de côté leurs préoccupations en matière de libertés individuelles” au profit du bien-être public. Nous devions accepter la suppression par le gouvernement fédéral de droits garantis par la Constitution tels que la liberté d’expression, la liberté religieuse, le droit de se réunir et même le droit de travailler pour vaincre l’“ennemi commun”.

Le “marais” a utilisé la peur du COVID comme un outil pour imposer une pseudo loi martiale.

Les mandats COVID de Biden ont dépassé l’autorité fédérale. Ils sont inconstitutionnels, comme l’a récemment rappelé la Cour d’appel du 5e circuit à Washington. Les mesures de santé publique relèvent de la responsabilité des États, et non du gouvernement fédéral.

BLM (Black Lives Matter) est une organisation nationale fièrement marxiste qui se cache derrière le slogan évident selon lequel la vie des Noirs compte – tout comme la vie de tous les peuples. Pourtant, l’administration Biden a toléré la violence, les incendies criminels, les pillages et même les meurtres commis par des agitateurs BLM armés, vêtus de vêtements entièrement noirs et portant des cagoules de ski anonymes.

Washington et le DoJ de Biden tolèrent tacitement le terrorisme intérieur de BLM pour une seule raison : il favorise une atmosphère de peur et d’insécurité. D’où les cris adressés au gouvernement fédéral : Faites quelque chose, n’importe quoi ! En réponse, ils ont modifié ou suspendu les règles, les lois et les droits constitutionnels en utilisant comme excuse la violence au nom de la justice sociale. Washington a encouragé le désengagement des services de police locaux tout en offrant un “maintien de l’ordre” fédéral aux communautés locales.

La tolérance et les encouragements secrets de Washington à l’égard de BLM sont une autre façon de justifier l’extension du pouvoir et de la portée du gouvernement fédéral.

Lorsque la Déclaration des droits a été rédigée, il n’y avait pas de réelle différence entre la puissance militaire d’une milice d’État et celle de l’armée continentale. Toutes deux avaient des mousquets, des armes de poing, des baïonnettes, des chevaux et même des canons. Le deuxième amendement n’utilise pas de mots tels que “peut”, “devrait” ou “ne peut”. Il dit “ne doit pas [italique ajouté] être enfreint”, ce qui est un commandement simple, sans ambiguïté et incontestable.

Les Fondateurs voulaient que les citoyens privés aient la capacité militaire de résister aux tentatives du gouvernement central de réimposer la tyrannie à ses citoyens. Ainsi, après la liberté d’expression et l’indépendance religieuse, le “droit” le plus important était celui de détenir et de porter (utiliser) des armes à feu, pour la défense armée, si nécessaire, de la liberté personnelle et de la liberté américaine.

C’est pourquoi les démocrates cherchent à contourner le deuxième amendement et à priver les particuliers de leurs armes à feu. L’interdiction des armes est une autre tactique d’oppression fédérale.

Dans les mains des progressistes, le COVID, BLM, les lois anti-armes et bien d’autres sont des outils au service de la tyrannie… si nous le permettons.

Lire aussi : La route vers le fascisme : Pavée de mandats de vaccination et de collusion avec les entreprises

Sources : Zero Hedge, American Thinker – Traduit par Anguille sous roche


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