La stupidité orwellienne absolue des masques dans les avions
J’ai récemment traversé le pays pour me rendre à Hillsdale, dans le Michigan. Ma femme et moi sommes restés assis pendant cinq heures dans l’avion avec un masque à mailles pressées sur le visage. Cela a rendu l’absurdité du mandat du masque sous lequel nous vivons à la fois claire et déprimante. La mascarade à laquelle nous sommes tous forcés de participer n’est pas seulement de nature totalitaire, mais aussi un gros mensonge orwellien.
Je suis sûr que la plupart des passagers des avions étaient soit vaccinés contre le COVID-19, soit guéris du COVID-19. Bien que peu de gens parlent des milliers de personnes qui ont eu le COVID-19 et qui ont survécu, ils s’avèrent être un groupe important dans la bataille en cours contre le virus. Je suis moi-même guéri du COVID après avoir été atteint par la maladie il y a quelques mois. J’ai maintenant une immunité naturelle contre la maladie.
Forcer quelqu’un comme moi à porter un masque n’a aucun sens scientifique ou sanitaire. Aucune étude ne montre que le port d’un masque dans un avion peut arrêter une maladie virale respiratoire. Si c’était le cas, nous nous attendrions à ce que les pilotes portent toujours des masques lorsqu’ils sont dans le cockpit. Mais ils ne le font pas. Peut-être que l’air recyclé des avions les protège des virus embarqués. En outre, si le port du masque à bord d’un avion était essentiel pour prévenir la propagation de la maladie, pourquoi sommes-nous autorisés à retirer nos masques pendant de longues périodes de temps lorsque nous mangeons et buvons ? J’aimerais que quelqu’un pose cette question précise au Dr Fauci.
L’obligation de porter un masque à l’entrée ou à la sortie d’un restaurant, mais de ne pas le porter pendant que l’on mange ou que l’on boit, n’a absolument aucun sens non plus. Les autorités supposent-elles que le virus COVID-19 cesse de chercher de nouveaux hôtes à infecter uniquement lorsque nous sommes démasqués mais que nous ne mangeons pas ou ne buvons pas ? Ces génies de la bureaucratie croient-ils vraiment que le virus joue franc jeu, en observant des règles équivalentes à celles inventées par le marquis de Queensberry pour la boxe ? Je pense que le virus COVID-19 est plus susceptible de jouer selon les règles du Fight Club !
Les CDC ont récemment reconnu qu’il ne dispose d’aucune donnée montrant que les personnes naturellement immunisées contre le COVID peuvent contracter et transmettre la maladie à d’autres personnes. Malgré cela, les CDC discriminent ces personnes en insistant sur le fait qu’elles doivent être entièrement vaccinées et porter un masque pour pouvoir fonctionner en société.
Puisque les CDC exigent ces mesures, on pourrait penser qu’il dispose d’une montagne de preuves à l’appui d’une politique aussi draconienne. Ce n’est pas le cas. La science, en fait, montre exactement le contraire. Elle montre que l’immunité naturelle est forte, durable et étendue. Forte signifie que l’immunité naturelle protège mieux contre une infection par le COVID que l’immunité produite par un vaccin. C’est pourquoi nous ne voyons pas de patients guéris du COVID contracter à nouveau le COVID.
Alors qu’il est courant de voir des personnes vaccinées contre le COVID contracter le COVID et même nécessiter une hospitalisation, les personnes guéries par le COVID restent en bonne santé. De multiples études ont confirmé que le SRAS-CoV-2 se comporte comme le SRAS-CoV-1 ainsi que de nombreuses autres maladies virales telles que la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc. C’est-à-dire que ces maladies confèrent une immunité de longue durée aux personnes qui ont été infectées.
J’ai eu la varicelle quand j’étais enfant. Je l’ai eue parce que ma mère nous a promenés, mon frère et moi, dans la rue jusqu’à la maison d’un voisin où l’enfant qui vivait là avait la maladie. Notre père, un médecin, voulait que nous soyons exposés et que la maladie soit traitée dans des conditions contrôlées et lorsqu’elle est bénigne. C’était vers 1970, avant que le vaccin contre la varicelle ne soit disponible.
De nombreux scientifiques s’attendent à ce que le SRAS-CoV-2 – le virus à l’origine du COVID-19 – se comporte de la même manière. Les patients guéris de la COVID semblent être immunisés contre toutes les variants du SRAS-CoV-2, y compris le variant delta. Cette large immunité se produit parce que les personnes qui contractent le COVID-19 ont été exposées à l’ensemble du virus. Cela contraste fortement avec le vaccin, qui crée une immunité contre la seule protéine de pointe du virus, ce qui limite l’immunité et permet au virus de passer plus facilement à travers l’immunité induite par le vaccin.
Il y a une expression qui dit : “Nous obtenons ce que nous tolérons”. Au cours des 21 derniers mois, nous avons toléré des assauts contre nos libertés que nous n’aurions jamais acceptés avant le COVID-19. Nous avons permis à des bureaucrates non élus du secteur de la santé de se couvrir les fesses contre tout résultat possible de la maladie, aussi improbable soit-il. Nous avons permis à un establishment médiatique complice de vendre sciemment tous les dangers possibles du virus à un public apeuré. Nous devrions tous être embarrassés par le canular qu’ils ont perpétré et que nous avons absorbé.
J’aurais normalement pensé que des hommes forts se lèveraient et diraient non – les mêmes qui font la guerre, protègent nos rues et combattent les brutes dans les cours d’école. Mais ils ont été émasculés très tôt par les “experts”. Aujourd’hui, cependant, les mamans ourses s’en mêlent, car les bureaucrates, les politiciens et les médias de soutien tentent de forcer des enfants de cinq ans à recevoir un vaccin expérimental contre un virus qui présente peu de risques pour leur groupe d’âge.
Ah, mais ne sous-estimez jamais les mamans ourses et la nature protectrice de leur instinct maternel. Elles peuvent encore être la force qui arrêtera la folie actuelle et se joindra à la bataille plus large pour l’avenir de l’Amérique.
Sources : Zero Hedge, American Thinker – Traduit par Anguille sous roche
