Deux adolescents meurent quelques jours après avoir reçu une injection de Pfizer – Silence médiatique
Selon une nouvelle étude publiée par des chercheurs en pathologie clinique, une deuxième dose du vaccin de Pfizer a causé la mort subite de deux adolescents.
L’article, réalisé par des pathologistes médico-légaux de Yale et de l’Université du Michigan, a été mis en avant sur les médias sociaux mardi par le Dr Peter McCullough, cardiologue.
Two fatal cases of myocarditis in teenage boys a few days after second dose. Found dead at home without a chance at resuscitation. Clear cut findings on autopsy. I testified in US Senate 1/24 that “one case is too many!”. Parents and kids should know more deaths will happen. pic.twitter.com/R97bI8qkbN
— Peter McCullough, MD MPH (@P_McCulloughMD) February 15, 2022
“Les parents et les enfants doivent savoir que d’autres décès vont se produire”, a averti M. McCullough.
Les autopsies des deux adolescents, dont les noms, les âges et les lieux ne sont pas révélés, ont été étudiées dans un article publié mardi dans la revue médicale The Archives of Pathology & Laboratory Medicine.
Les deux adolescents “ont été retrouvés morts dans leur lit 3 et 4 jours après avoir reçu la deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech”, indique l’article, qui ajoute : “Les deux garçons ont été déclarés morts à la maison sans tentative de réanimation.”
Les chercheurs ont constaté que les diagnostics de myocardite fatale des garçons n’étaient pas “typiques”, et ressemblaient davantage à une cardiomyopathie toxique.
“L’examen microscopique a révélé des caractéristiques ressemblant à une blessure induite par les catécholamines, et non à une pathologie typique de la myocardite”, ont écrit les scientifiques, ajoutant que leur travail pourrait profiter à d’autres pathologistes à l’avenir.
“La lésion myocardique observée dans ces cœurs post-vaccinaux est différente de la myocardite typique et ressemble davantage à une cardiomyopathie de stress (toxique) médiée par les catécholamines. Comprendre que ces cas sont différents de la myocardite typique et que la tempête de cytokines a une boucle de rétroaction connue avec les catécholamines peut aider à guider le dépistage et la thérapie.”
Consultez l’étude ici.
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