Un ancien scientifique de Big Pharma demande pourquoi les « vaccins » n’ont pas été soumis aux essais de sécurité appropriés pour la technologie génétique


Le Dr John D. Flack, scientifique retraité dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutique, demande pourquoi les vaccins covid-19 n’ont pas été soumis aux essais de sécurité appropriés pour le génie génétique.

Selon lui, ces vaccins covid issus du génie génétique n’ont pas été soumis aux études de sécurité standard requises pour les nouveaux médicaments fondés sur la génétique.

Le Dr Flack est membre de la Heart Advisory & Recovery Team (HART), un groupe de médecins, de scientifiques, d’économistes, de psychologues et d’autres experts universitaires hautement qualifiés du Royaume-Uni, qui se sont réunis en raison de préoccupations communes concernant les politiques et les recommandations relatives à la pandémie.

Il a également été impliqué dans la recherche pharmaceutique tout au long de sa carrière et a occupé le poste de directeur de l’évaluation de la sécurité pour une société pharmaceutique. Lorsqu’il s’agit des études de sécurité des nouveaux médicaments, il sait de quoi il parle.

Publié par le Daily Sceptic, voici un extrait d’un article que le Dr Flack a écrit à ce sujet :

“Il me semble que les autorités de réglementation ont pu considérer cette nouvelle classe de médicaments comme un vaccin et suivre les directives toxicologiques pour les vaccins conventionnels. Mais comme nous l’avons vu plus haut, il ne s’agit pas de vaccins au sens classique du terme. Il s’agit d’injections d’une séquence génétique synthétisée en laboratoire – ce que nous aurions appelé, au cours des décennies précédentes, une nouvelle entité chimique (NEC). En outre, ils ne sont pas administrés en une seule dose, mais, en raison de leur efficacité limitée, sous forme d’injections répétées, appelées rappels. Il semble que l’on décide à la hâte d’administrer des doses supplémentaires. Comment cela peut-il être possible sans être étayé par des études de sécurité appropriées ? Et comme il est commode pour les autorités mondiales chargées de réglementer l’approbation des nouveaux médicaments que les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis aient modifié les définitions de vaccin et de vaccination – pour tenir compte des nouvelles ‘manières dont les vaccins peuvent être administrés’ – afin d’englober cette nouvelle technologie qui aurait été classée auparavant comme une NEC. Désolé, mais le simple fait de modifier la définition du terme ‘vaccin’ pour l’adapter aux propriétés de ces nouvelles injections ne dispense pas de mener les études appropriées permettant d’évaluer correctement leur sécurité. C’est pourquoi j’utilise le terme ‘vaccin’ entre guillemets ou je les décris simplement comme des injections.”

“Comment concevoir un ensemble d’études pour évaluer la sécurité de ces nouveaux ‘vaccins’ ?

Voici une liste d’études toxicologiques précliniques qui, à mon avis, auraient dû être réalisées avant que les autorités réglementaires ne donnent leur accord à l’homologation de ces nouvelles thérapies dans le cadre des pouvoirs d’urgence du gouvernement :

1. Évaluation de la toxicité aiguë chez les rongeurs et éventuellement chez les porcs pour évaluer l’irritation locale et intramusculaire. Le porc est un très bon modèle pour évaluer l’irritation des muscles humains.
2. Une étude de 14 jours à doses répétées chez deux espèces animales à trois niveaux de dose différents de la partie active, c’est-à-dire la protéine de pointe. L’objectif de ces études serait d’atteindre un niveau de dose sans effet et d’identifier les organes du corps qui seraient affectés négativement à des doses élevées. En d’autres termes, établir les organes cibles potentiels de la toxicité dans le contexte clinique.
3. Des études pharmacologiques sur des espèces animales appropriées afin d’établir tout effet indésirable possible sur le fonctionnement normal des organes vitaux du corps. L’accent est mis sur les systèmes cardiovasculaire et sanguin, car il a été clairement établi qu’ils sont les cibles du virus SRAS-CoV-2, par le biais de la protéine spike et de son attachement connu aux récepteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), dans l’exercice de ses effets pathologiques.
4. Des études pharmacocinétiques pour établir la distribution de la séquence de gènes à d’autres parties du corps après injection intramusculaire de la séquence de gènes et les concentrations de la protéine spike dans le sang après injection intramusculaire.

Il s’agirait du minimum d’études à réaliser avant tout essai chez l’homme. Les données de ces études auraient permis de déterminer s’il existait une marge de différence suffisante entre la dose donnant lieu à l’effet immunogène bénéfique et celle provoquant des effets indésirables pour justifier la poursuite des essais cliniques. En d’autres termes, il s’agit de déterminer le ‘ratio thérapeutique’. Comme nous l’avons vu plus haut, ce ratio devrait être élevé si l’on considère que le médicament est administré à des personnes en bonne santé et non à des patients atteints d’une maladie, où le ratio peut être beaucoup plus faible.”


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