La zone CHOP est responsable d’une hausse de 525 % de la criminalité à Seattle
« L’été de l’amour » se transforme en cauchemar.
Après avoir qualifié le tristement célèbre quartier CHOP du centre-ville de Seattle d’« été de l’amour », la maire Jenny Durkan a finalement dû reconnaître que l’échec de l’expérience communiste était responsable d’une hausse vertigineuse de 525 % de la criminalité.
Comme nous l’avons souligné hier, après des semaines de violence et de chaos, la CHOP a finalement été démantelée par la police de Seattle, mais seulement après que les occupants aient marché sur la maison de 7,6 millions de dollars du maire Durkan, d’une superficie de 500 mètres carrés.
Pendant presque tout le mois de juin, la zone a été en proie à des bagarres, des querelles, des vols et des viols, les occupants s’attaquant à la fois aux étrangers et aux autres.
Il apparaît maintenant que par rapport à la même période de l’année dernière, du 2 au 30 juin, la criminalité a augmenté de 525 %.
Ce chiffre est encore plus élevé que les 300 % cités à plusieurs reprises par la cheffe de la police de Seattle, Carmen Best.
Il est plutôt embarrassant de constater qu’après avoir proclamé un « été de l’amour » et dit au président Trump « Seattle va bien, n’ayez pas si peur de la démocratie », la maire Durkan a été contrainte de reconnaître les chiffres dans son propre décret d’urgence.
Le décret stipule qu’il y a eu « 22 incidents supplémentaires, dans le domaine des crimes contre la personne dans la région, y compris deux homicides supplémentaires, 6 vols supplémentaires, et 16 agressions aggravées supplémentaires (y compris 2 fusillades non mortelles supplémentaires) ».
En d’autres termes, une commune qui a été construite au nom de la lutte contre la violence et la brutalité a directement conduit à une augmentation massive de la violence et de la brutalité.
Voilà pour la gauche tolérante !
