George Soros : « Je suis engagé dans des activités amorales » – son interview « disparue » de l’émission 60 minutes


George Soros : « Je suis une personne qui, à un moment donné, s’engage dans des activités amorales, et le reste du temps, essaie d’être moral ».

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C’est ainsi que George Soros se décrit dans une interview pour l’émission 60 minutes que beaucoup disent qu’il a voulu faire disparaître en raison de la partie où il évoque ses activités équivoques et complices aux côtés de ceux qui confisquaient les biens des juifs, en Hongrie.

Ci-dessous l’interview, sous-titrée par Dreuz.info. Elle comporte deux parties auxquelles et c’est important.

« Je ne peux pas, et je ne regarde pas les conséquences sociales de ce que je fais. »

  • Étrangement, seule la partie comportant ses commentaires sur sa période avec les nazis a été abondamment couverte, dénoncée, défendue ou critiquée.
  • L’autre partie, celle où il explique comment il détruit des sociétés entières avec des fonds spéculatifs hébergés dans des pays où les lois ne peuvent pas l’atteindre, où il explique être engagé dans des activités amorales, et où il déclare, sourire aux lèvres : « je ne peux pas, et je ne regarde pas les conséquences sociales de ce que je fais », expliquant être indifférent aux drames humains qu’il provoque, n’a jamais été évoquée. C’est fort intéressant, car il est admiré par ceux qui le plus au monde abhorrent les loups de Wall Street et les spéculateurs qui se conduisent comme lui.

Mais c’est probablement parce qu’il fait taire, en l’arrosant à coups de millions, la gauche tout entière si disposée à se faire acheter, alors qu’elle a de tout temps dénoncé les spéculateurs, les capitalistes, les paradis fiscaux, les acteurs des marchés boursiers engagés dans les fonds d’investissement, et qui mettent en danger l’économie de pays entier…

Lire aussi : Flashback sur la menace de Soros en 2018 : « Trump disparaîtra en 2020 ou plus tôt »

Source : © Dreuz.tv pour Dreuz.info. 11 septembre 2018


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1 réponse

  1. Pat dit :

    « Je ne peux pas, et je ne regarde pas les conséquences sociales de ce que je fais. »
    Eh bien, nous allons nous charger de faire en sorte qu’il regarde !

    Et une court de justice peut-être un très bon moyen pour qu’un coupable regarde ses actes.

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