Les anciens Égyptiens en Amérique : Une dissimulation ou non ?
Un article de presse surprenant datant de 1909 raconte comment une grotte du Grand Canyon s’est révélée être remplie d’écrits et d’objets égyptiens anciens.
En 1909, un article de presse surprenant a été publié aux États-Unis. Le 5 avril 1909, l’Arizona Gazette a publié un article suggérant que l’un des instituts scientifiques les plus réputés d’Amérique, le Smithsonian, avait dissimulé la découverte de ruines égyptiennes anciennes au milieu du Grand Canyon.
Pour être plus précis, l’article mentionnait que la découverte avait été faite dans la région dite de Marbel du Canyon. Selon le journal, cela indiquerait l’existence d’une connexion égypto-américaine hallucinante bien avant la “découverte” de l’Amérique telle que nous la connaissons.
Selon l’Arizona Gazette, les anciens artefacts égyptiens ont été découverts dans des parties très éloignées du Canyon, extrêmement difficiles d’accès et dangereuses à approcher. Le site présumé que le Smithsonian aurait recouvert se trouvait à environ 3 km du Crystal Canyon d’El Tovar. Le rapport suggère que l’entrée de la mystérieuse grotte se trouvait à environ 450 mètres sous une falaise abrupte.
Une de ces conspirations ?
Bien sûr, le Smithsonian ne l’a jamais admis. Au lieu de cela, ils ont nié tout rapport avec la découverte et la dissimulation, en disant qu’ils n’ont jamais récupéré d’artefacts. Ceci est bien documenté dans le livre intitulé Suppressed Inventions écrit par Jonathan Eisen, où un porte-parole du Smithsonian est cité disant que le Smithsonian n’a jamais récupéré quoi que ce soit en rapport avec l’Egypte ancienne dans le Grand Canyon. Cependant, l’homme à l’origine de la prétendue découverte, un aventurier et explorateur du nom de G.E. Kincaid, aurait trouvé non seulement des objets de l’Égypte ancienne, mais aussi des hiéroglyphes écrits sur les parois de la caverne.
Manifestement d’origine humaine
Selon cette source, Kincaid a écrit que les passages qu’il avait vus étaient ciselés aussi droits qu’un ingénieur pouvait le faire. Les plafonds des pièces convergeaient au centre. Les passages latéraux près de l’entrée formaient un angle aigu avec ce que Kincaid a décrit comme la salle principale. Puis, vers l’arrière, ils atteignaient progressivement un angle droit en direction.
Regardez la vidéo suivante pour une vue approfondie de la théorie, et jugez par vous-même.
Le courant dominant
Il est toujours agréable de se plonger dans ces mystères et de garder l’esprit ouvert. Mais, bien sûr, nous savons que les experts du courant dominant ne reconnaîtront probablement jamais qu’une telle découverte a été faite, car cela changerait radicalement notre vision de l’histoire. Et ce, même si nous savons qu’une grande partie de notre histoire moderne est fausse. Comme, par exemple, le fait que ce n’est pas Christophe Colomb qui a “trouvé” l’Amérique. Même si l’on attribue à Christophe Colomb la découverte de l’Amérique, il existe des preuves de contacts entre les Vikings et les indigènes bien plus tôt. Il existe également des preuves qui suggèrent que les anciens Chinois commerçaient avec les indigènes bien avant Christophe Colomb.
Les momies de cocaïne
Avant de conclure cet article, j’aimerais évoquer brièvement une importante découverte faite par un scientifique allemand. En 1992, la toxicologue allemande Svetlana Balabanova a trouvé des traces de cocaïne et d’autres drogues sur les restes momifiés d’une ancienne prêtresse égyptienne de la 21e dynastie, Henut Taui. Cette découverte a fait grand bruit. Pourquoi ? Parce que la cocaïne est une plante originaire des Amériques. Cette plante n’a été considérée comme existant en Afrique qu’après la “découverte” de l’Amérique par Christophe Colomb. Alors comment la cocaïne est-elle entrée en contact avec une ancienne momie égyptienne ? Le mystère reste entier.
Source : Curiosmos – Traduit par Anguille sous roche
