Vidéo : Joe Rogan explique comment toute personne qui ne s’identifie pas à l’extrême gauche est désormais étiquetée « Alt Right » (extrême droite)


“Les gens intelligents utilisent ce péjoratif, ‘Oh ces gens de l’alt-right'”.

Joe Rogan a expliqué jeudi dans son podcast comment la gauche est devenue si intolérante à l’égard de tout autre point de vue que quiconque n’est pas totalement d’accord avec elle est désormais automatiquement affublé du terme péjoratif “alt-right”.

“Vous ne me convaincrez pas en me disant que des gens comme Maajid Nawaz sont de l’alt-right”, a noté Rogan, ajoutant un autre exemple, et affirmant “C’est une foutue absurdité. C’est tellement débile.”

“C’est tellement fou de le qualifier d’alt-right, et de qualifier Tim Pool d’alt-right également”, a poursuivi Rogan, notant que “Tim, si quelque chose, il est un centriste. C’était un journaliste de terrain pour VICE… il était à fond dans Occupy.”

“Je connais très bien Tim”, a poursuivi Rogan, ajoutant “Il n’est pas du tout alt-right, mais il entretient une conversation avec n’importe qui… il a reçu [James] O’Keefe du Project Veritas l’autre jour, et c’est comme – ce type est le croque-mitaine de la gauche. Même si ce qu’il dit est une putain de menace.”

Faisant encore référence à O’Keefe, Rogan a noté : “Il expose des menaces pour la démocratie, il expose une corruption réelle, il expose des conspirations réelles, et [la gauche] est comme ‘Beurk non, mais c’est Veritas’.”

Ailleurs au cours du podcast, Lindsay a établi un parallèle entre l’endoctrinement marxiste dans les écoles américaines et la révolution culturelle chinoise, notant que “le but est de déstabiliser l’identité des enfants pour qu’ils soient faciles à manipuler… et ensuite ils regardent la génération de leurs parents et disent ‘cela ne me représente pas, nous avons besoin de quelque chose de différent'”.

Lindsay poursuit : “Il s’agit de couper le lien entre la continuité de la culture jusqu’à ce moment-là, y compris la famille, et de commencer une toute nouvelle culture par la suite.”

“Pol Pot appelait cela ‘l’année zéro’, je suppose que Klaud Schwab appelle cela ‘le grand reset'”, a ajouté Lindsay.

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