Des médias annoncent qu’ils abandonnent « l’objectivité » parce qu’elle est raciste

Une relique des “salles de presse blanches”.

Des organes de presse de premier plan ont ouvertement annoncé qu’ils abandonnaient l’“objectivité” parce qu’elle était une relique raciste des “salles de presse blanches”.

Non, ce n’est pas une histoire du Babylon Bee.

La décision est née d’une série d’entretiens menés par l’ancien rédacteur en chef du Washington Post Leonard Downie Jr. et l’ancien président de CBS News Andrew Heyward.

“Ces deux personnalités des médias ont fait valoir que les journalistes devaient tenir compte de leurs propres croyances, préjugés et expériences pour transmettre la vérité, et que l’objectivité journalistique était irréaliste ou indésirable”, rapporte le Daily Caller.

Downie Jr. a fait valoir que l’objectivité déforme les informations parce que la norme “a été dictée pendant des décennies par des rédacteurs en chef masculins dans des salles de rédaction à prédominance blanche et a renforcé leur propre vision du monde”.

Emilio Garcia-Ruiz, rédacteur en chef du San Francisco Chronicle, a été encore plus explicite en affirmant que “l’objectivité doit disparaître”.

Voilà donc ce qu’il en est.

La “diversité” est hostile à l’objectivité (la vérité) et pour que la diversité gagne, la vérité doit être abolie en faveur de la promotion de récits qui profitent aux groupes dits minoritaires (qui sont maintenant approuvés et habilités par toutes les grandes institutions américaines).

Downie Jr. a insisté sur le fait que couvrir les deux côtés d’une histoire, en particulier une histoire “sur la race, le traitement des femmes, les droits LGBTQ+, l’inégalité des revenus, le changement climatique et bien d’autres sujets”, empêche les individus qui appartiennent à ces groupes de “poursuivre la vérité dans leur travail”.

Kathleen Carroll, ancienne rédactrice en chef de l’Associated Press, a affirmé que l’objectivité était une norme établie par des personnes “blanches, éduquées et assez riches” et qu’elle devrait donc être abolie.

Chris Menahan a souligné un exemple de la façon dont les journalistes qui se dispensent de l’objectivité servent en fait à enterrer la vérité.

Le New York Times a rapporté l’affirmation d’une jeune fille de 12 ans victime de harcèlement racial en la désignant comme “noire” et ses bourreaux comme “blancs”.

Après qu’il s’est avéré que ces allégations avaient été totalement inventées et que l’histoire était un mensonge, le Times a supprimé les termes “Noir” et “Blanc” de ses reportages ultérieurs.

“Ce que nous avons découvert nous a convaincus que les médias à la recherche de la vérité doivent aller au-delà de ce que ‘l’objectivité’ signifiait autrefois pour produire des informations plus fiables”, a déclaré Downie Jr, en occultant le fait que l’abandon de l’objectivité aboutit en fait à l’exact opposé de la “recherche de la vérité”.

“Leurs déclarations sont toutes objectivement idiotes, mais ils ne s’en rendent même pas compte parce qu’ils ont abandonné toute objectivité !” a remarqué Menahan.

Comme nous l’avons souligné précédemment, l’institut de vérification des faits Poynter a exigé que les stations d’information locales réduisent la couverture des histoires qui relient les “communautés noires et brunes” aux crimes violents parce que cela alimente le “racisme systémique”.

Ils sont littéralement en guerre contre la vérité.

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