Le chef de Moderna prévient que Delta et Omicron pourraient s’associer pour créer un virus « monstre »


La solution sera plus de vaccins.

Le médecin en chef de Moderna a averti que les variants Delta et Omicron du COVID-19 pourraient se combiner pour créer un virus “monstre”.

C’est reparti.

Paul Burton a fait ces commentaires alors qu’il s’adressait mardi aux membres de la Commission des technologies et des sciences de la Chambre des communes.

M. Burton a affirmé qu’il était possible pour une personne de contracter les deux variants en même temps, ce qui “donne certainement l’occasion aux deux virus de se recombiner”, ce que nous appelons, ce qui signifie qu’ils pourraient commencer à “partager des gènes et à échanger des gènes”.

Cela pourrait “certainement” conduire à des symptômes du COVID-19 plus graves que d’habitude, selon Burton, qui a ajouté qu’“il est vraiment important d’y penser” étant donné la propagation rapide d’Omicron.

Aleksandr Semyonov, directeur du centre russe de recherche en virologie vectorielle, a déclaré que, même s’il s’agirait d’un “phénomène plutôt rare”, une éventuelle combinaison Delta-Omicron est toujours possible.

Je suis sûr que la solution à tout variant futur ou à tout “virus monstre” consistera à renforcer les restrictions, les mesures de confinement et les vaccins.

Et Moderna sera bien placé pour en tirer parti.

Comme nous l’avons souligné précédemment, Stéphane Bancel, de Moderna, a déclaré que même les personnes les plus jeunes devront recevoir des rappels de vaccin au moins une fois tous les trois ans.

Lorsque l’humoriste Trevor Noah a récemment demandé si le PDG de Moderna avait un conflit d’intérêts en réclamant de nouveaux vaccins pour lutter contre Omicron, il a été attaqué comme un “anti-vax” par ses propres fans.


Vous aimerez aussi...

3 réponses

  1. Patrick dit :

    “se combiner pour créer un virus « monstre », mais c’est déjà fait, c’est la combinaison entre Bill Gates et Rockefeller, qui ravage la terre depuis une quinzaine d’années, dans le domaine de la santé autant que celui de l’agriculture.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *