Article d’opinion du NY Times : « S’accoupler avec des personnes de petite taille pour mettre fin au changement climatique »


“Nous serons plus nombreux à pouvoir monter dans les vaisseaux spatiaux quand nous serons forcés de quitter cette planète que nous avons détruite.”

Un article d’opinion du New York Times suggère que tout le monde devrait “s’accoupler avec des personnes plus petites” afin de sauver la planète.

Oui, vraiment.

L’auteur, Mara Altman, affirme que “lorsque vous vous accouplez avec des personnes plus petites, vous sauvez potentiellement la planète en réduisant les besoins des générations suivantes”.

“Abaisser la taille minimale des partenaires potentiels sur votre profil de rencontre est un pas vers une planète plus verte”, ajoute-t-elle dans l’article.

Elle ajoute que “si nous gardions les mêmes proportions mais que nous étions seulement 10 % plus petits, rien qu’en Amérique, nous économiserions 87 millions de tonnes de nourriture par an (sans parler des milliards de litres d’eau, des quadrillions de watt d’énergie et des millions de tonnes de déchets)”.

Altman poursuit : “Les petites personnes ne font pas qu’économiser les ressources, mais comme les ressources se raréfient en raison de l’augmentation de la population de la Terre et du réchauffement climatique, elles sont peut-être aussi les plus aptes à survivre à long terme (et pas seulement parce que nous serons plus nombreux à pouvoir nous entasser dans des vaisseaux spatiaux lorsque nous serons forcés de quitter cette planète que nous avons saccagée).”

“Notre réussite en tant qu’individus ne dépend pas du fait de frapper d’autres personnes ou animaux. Même si c’était le cas, à l’ère des armes à feu et des drones, être grand aujourd’hui ne fait que faire de vous une plus grande cible”, ajoute Altman, qui conclut : “Je veux que les enfants de mes enfants connaissent la valeur du petit.”

Twitter n’a pas perdu de temps pour se moquer sans cesse de l’article :

Si l’on regarde le bon côté des choses, l’avenir d’Altman permet au moins de continuer à s’accoupler.

C’est un pas en arrière par rapport à “l’extinction humaine volontaire”, une idée précédemment amplifiée par le Times, donc peut-être est-ce un progrès.


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